BOTERO (Fernando), tremblement de terre a popayan - MENDELSSOHN (Felix), Paulus (oratorio), ist das nicht
La paix du soir aborde chaque pierre, y jette l’arrière de douleur.
Puis vient la nuit grosse de bataille
René CHAR
Fernando BOTERO - tremblement de terre a popayan
Botero, à l'instar d'autres artistes latino-américains de renommée, comme Diego Rivera, José Clemente Orozco ou David Alfaro Siqueiros, fut influencé par l'art européen. Alors que ces derniers s'inspiraient des révolutions picturales de l'époque, tel le cubisme, le peintre et sculpteur colombien profita de son séjour à Paris pour visiter les musées et s'inspirer des classiques de la Renaissance, jusqu'à Ingres. L'emploi de couleurs vives et franches est également omniprésent dans les peintures de Botero.
Illustratioon musicale: Felix MENDELSSOHN - Paulus - 28-29 ist das nicht (choeur et choral)
Ainsi parle le Seigneur : Je suis le Seigneur, et en dehors de moi il n'y a pas de sauveur
(So spricht der Herr: Ich bin der Herr, und ist außer mir kein Heiland.)
Narrateur : Et ils poursuivirent Paul et tinrent conseil pour le tuer, se disant l'un à l'autre :
(Und sie stellten Paulus nach und hielten einen Rat zusammen, dass sie ihn töteten, und sprachen zueinander:)
N'est-ce pas ce qui a dérangé tous ceux à Jérusalem qui invoquent ce nom ? (choeur des Juifs)
Tous les menteurs doivent être réduits au silence ! Loin, loin de lui !
(Ist das nicht, der zu Jerusalem verstörte alle, die diesen Namen anrufen? Verstummen müssen alle Lügner! Weg, weg mit ihm!)