HARING (Keith), arbre aux singes 1984 - TCHAIKOVSKI, concerto pour piano n1 ()
Des singes dans un bois jouaient à la main chaude ...
c'était alors des ris, des sauts, des gambades, des cris.
Attiré par le bruit, un jeune léopard se présente au milieu de nos singes joyeux ...
Jean-Pierre CLARIS de FLORIAN - les singes et le leopard
Keith HARING - arbre aux singes 1984
Contrairement aux autres artistes américains des années 1950 et 1960 qui avaient promu « l'art du réel », Keith plongeait lui dans le réel de façon tout à fait inconnue jusqu'alors. Inspiré par le graffiti, ses peintures font partie du mouvement général de l'art contemporain. La « griffe Haring », c'est la répétition infinie de formes synthétiques soulignées de noir avec des couleurs vives, éclairantes, sur différents supports. Il s'est en partie inspiré des dessins du désert de Nazca. Le monde autour de lui devient beau car il est à son image par la fraîcheur et la sincérité de son art. Un art proche sans concession facile d’accès mais profond, simple pour les enfants et trop compliqué pour les adultes !
Illustr musicale: TCHAIKOVSKI - concerto pour piano n1 1875
L'une des particularités remarquables est le fréquent retour de grandes envolées du piano, le premier Allegro est plein de passages saisissants et d'effets d'instrumentations brillants, quoique parfois bizarres.