MALHOA (Jose), o fado - GUERREIRO (Katia), morena (fado) ()
Mieux vaut cacher sa déraison, mais c'est difficile dans la débauche et l'ivresse
HERACLITE d'Ephèse
José MALHOA - O fado
L'œuvre représente Amâncio, un marginal jouant du fado en compagnie d'une femme de mauvaise vie , connue sous le nom d'Adélaïde da Facada. Peintre avant tout naturaliste, autodidacte, José Malhoa eut une carrière très féconde, touchant à tous les registres, portrait, nu, décorateur de nombreux palais, religieux ou historiques, mais tourné surtout vers la vie populaire. Traités avec un pinceau très rigoureux, avec de forts jeux de lumière, O Fado, 1910 (Lisbonne, musée municipal), Os Bebedos (1907, Lisbonne, M. A. C.), sont des œuvres ambitieuses, les plus audacieuses du naturalisme portugais.
illustr musicale: Katia GERREIRO et RODRIGO avec Marta costa felix - morena (duo)(fado)
La musique se réfère à la révolution des œillets en avril 1974 mettant fin aux 41 ans du régime Salazar imposa à son pays. la chanson de José Afonso « Grândola, Vila Morena » a accompagné le déclenchement de la Révolution des Oeillets.
Ne le nie pas, avoue
que tu as une certaine pitié
que la plupart des filles
Appelez-vous brune.
Parce que je n'aimais pas ça
Il me semble,
voir ton visage
La couleur du jasmin.
Je ne sais pas... mais de toute façon
La raison est faible
Eh bien, tu t'en fous
Que j'aime ou pas.
Mais regarde les violettes
Que, étant noir,
L'odeur qu'ils ont !
Voir ce que ce serait
si Dieu les a fait
Les brunes aussi !
tu es le plus rare
De toutes les roses;
Et les choses les plus rares
Ils sont plus précieux.
Il y a des roses courbées
Et il y a les simples;
mais c'est tous
bleu jaune,
Couleur citron vert,
De beaucoup d'autres couleurs ;
Mais les roses brunes,
Seulement toi, belle fleur.
et regarde ce qu'ils étaient
Brunes et bien
les plus belles filles
De Jérusalem.
Et la Vierge Marie
Je ne sais pas... mais ce serait
Brune aussi.
Moreno était le Christ.
voir là après ça
si tu te sens toujours désolé
que la plupart des filles
Appelez-vous brune!
Não negues, confessa
Que tens certa pena
Que as mais raparigas
Te chamem morena.
Pois eu não gostava,
Parece-me a mim,
De ver o teu rosto
Da cor do jasmim.
Eu não... mas enfim
É fraca a razão,
Pois pouco te importa
Que eu goste ou que não.
Mas olha as violetas
Que, sendo umas pretas,
O cheiro que têm!
Vê lá que seria,
Se Deus as fizesse
Morenas também!
Tu és a mais rara
De todas as rosas;
E as coisas mais raras
São mais preciosas.
Há rosas dobradas
E há-as singelas;
Mas são todas elas
Azuis, amarelas,
De cor de açucenas,
De muita outra cor;
Mas rosas morenas,
Só tu, linda flor.
E olha que foram
Morenas e bem
As moças mais lindas
De Jerusalém.
E a Virgem Maria
Não sei... mas seria
Morena também.
Moreno era Cristo.
Vê lá depois disto
Se ainda tens pena
Que as mais raparigas
Te chamem morena!
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