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date de publication: mercredi 17 février 2021

MONDRIAN (Piet), Composition en rouge, jaune, bleu et noir 1921 - BRUBECK (Dave), Take Five


La musique agence et fait tinter le silence,
Elle lui confére le rythme, le dynamique

Sylvie GERMAIN - Quatre actes de présence

Piet MONDRIAN - composition en rouge, bleu et noir 1921
les compositions géométriques aux couleurs primaires déroutent autant qu'elles fascinent.
En Mai 1911, Mondrian se rend pour la première fois à Paris en vue de préparer la première exposition du Cercle de l’art moderne, fondé six mois auparavant. Se tient alors le Salon des indépendants, où les cubistes exposent dans une salle dédiée. La découverte du cubisme bouleverse ses certitudes et mène son art dans de nouvelles directions. L’effusion colorée laisse place à une peinture plus austère où prime le souci de la construction. Sa peinture évolue inexorablement vers l’abstraction, conçue par l’artiste non comme une rupture avec le réalisme mais comme sa continuation par d’autres moyens.
Le hasard est le rythme profond du monde, le hasard est l'âme de la poésie ! (Miguel de UNAMUNO - Brouillard)

Illustr musicale: Dave BRUBECK - take five
Take Five est une composition du saxophoniste Paul Desmond écrite en 1959 pour l'album Time Out du quartet de Dave Brubeck. Le titre vient d'un jeu de mot sur l'expression anglaise « take five », qui peut signifier « pause de cinq minutes »1 ou encore « cinquième prise (enregistrement) ». Il souligne le rythme à cinq temps, rythme rarissime dans le jazz des années 1950, et dans la musique en général. Plus simplement, il désigne alors cette écriture musicale établie sur une mesure à cinq temps (cinq noires par mesure). Véritable tube à l'époque malgré sa métrique inhabituelle, le thème est devenu un standard de jazz.