(liste)
◀◀
◀
(47 sur 1293)
►
►►
Anonyme, St George (ecole de Novgorod) - RACHMANINOV, Liturgie de St Jean Chrisostome
Anonyme, St George (ecole de Novgorod) - RACHMANINOV, Liturgie de St Jean Chrisostome Georges tue le dragon d’un coup de cimeterre car il les effrayait toujours, puis le cadavre de la bête est traîné hors des murs de la ville tiré par quatre boeufs
legende de Saint Georges ()
Anonyme, St George (ecole de Novgorod) - RACHMANINOV, Liturgie de St Jean Chrisostome
Anonyme, St George (ecole de Novgorod)
Un jour Georges de Lydda traverse la ville de Silène dans la province romaine de Libye, sur son cheval blanc. La cité est terrorisée par un redoutable dragon qui dévore tous les animaux de la contrée et exige des habitants un tribut quotidien de deux jeunes gens tirés au sort. Georges arrive le jour où le sort tombe sur la fille du roi, au moment où celle-ci va être victime du monstre. Georges engage avec le dragon un combat acharné ; avec l'aide du Christ, et après un signe de croix, il le transperce de sa lance. La princesse est délivrée et le dragon la suit comme un chien fidèle jusqu'à la cité. Les habitants de la ville ayant accepté de se convertir au christianisme et de recevoir le baptême, Georges tue le dragon d'un coup de cimeterre, car il les effrayait toujours, puis le cadavre de la bête est traîné hors des murs de la ville, tiré par quatre bœufs.
Les artistes de Novgorod ont conservé la tradition byzantine tout en introduisant des couleurs plus claires, des formes plus plates, et l'utilisation croissante d'une ligne gracieuse et rythmique pour définir la forme. La Russie a adopté Saint George comme principal emblème de ses armoiries et le premier des ordres militaires porte son nom
Illustration musicale: Serge RACHMANINOV - Liturgie de St Jean Chrisostome
La Liturgie de saint Jean Chrysostome, op. 31, est, avec Les Vêpres op. 37, l'une des deux seules compositions religieuses de Sergueï Rachmaninov. En 1878, se développe ce qu'on appellerait aujourd'hui une "contre-culture", les compositeurs collectent et diffusent les anciens chants traditionnels. Rachmaninov est attentif à tous les changements: chants redécouverts, nouveaux styles (nouvelles interprétations, nouvelles tournures modales, nouvelles harmonies, etc.).
Un jour Georges de Lydda traverse la ville de Silène dans la province romaine de Libye, sur son cheval blanc. La cité est terrorisée par un redoutable dragon qui dévore tous les animaux de la contrée et exige des habitants un tribut quotidien de deux jeunes gens tirés au sort. Georges arrive le jour où le sort tombe sur la fille du roi, au moment où celle-ci va être victime du monstre. Georges engage avec le dragon un combat acharné ; avec l'aide du Christ, et après un signe de croix, il le transperce de sa lance. La princesse est délivrée et le dragon la suit comme un chien fidèle jusqu'à la cité. Les habitants de la ville ayant accepté de se convertir au christianisme et de recevoir le baptême, Georges tue le dragon d'un coup de cimeterre, car il les effrayait toujours, puis le cadavre de la bête est traîné hors des murs de la ville, tiré par quatre bœufs.
Les artistes de Novgorod ont conservé la tradition byzantine tout en introduisant des couleurs plus claires, des formes plus plates, et l'utilisation croissante d'une ligne gracieuse et rythmique pour définir la forme. La Russie a adopté Saint George comme principal emblème de ses armoiries et le premier des ordres militaires porte son nom
Illustration musicale: Serge RACHMANINOV - Liturgie de St Jean Chrisostome
La Liturgie de saint Jean Chrysostome, op. 31, est, avec Les Vêpres op. 37, l'une des deux seules compositions religieuses de Sergueï Rachmaninov. En 1878, se développe ce qu'on appellerait aujourd'hui une "contre-culture", les compositeurs collectent et diffusent les anciens chants traditionnels. Rachmaninov est attentif à tous les changements: chants redécouverts, nouveaux styles (nouvelles interprétations, nouvelles tournures modales, nouvelles harmonies, etc.).