CASSAT (Mary), boating party - SCHUMANN (Robert), cto piano en la, andante
CASSAT (Mary), boating party - SCHUMANN (Robert), cto piano en la, andante
Mary CASSAT - the boat party 1893 () CASSAT (Mary), boating party - SCHUMANN (Robert), cto piano en la, andante
Mary CASSAT - the boat party 1893
Cassatt peint The Boating Party durant l'hiver 1893-1894 à Antibes, sur la Côte d'Azur, elle a alors 49 ans. C'est une peinture inhabituelle dans l'œuvre de Cassatt. Bien qu'elle montre le thème familier dans l'œuvre de l'artiste d'une mère et d'un enfant, la plupart de ses autres peintures sont situées en intérieur ou dans des jardins. Elle est considèrée comme « l'une des peintures les plus ambitieuses qu'elle ait jamais essayées». On remarque l'équilibre entre la « puissante silhouette sombre du batelier », l'angle entre l'aviron et le bras qui « pousse puissamment au centre de la composition vers la mère et l'enfant » qui sont au contraire des silhouettes « délicates et féminines ». Cassatt a placé l'horizon en haut du cadre comme il est coutume de le faire dans l'art japonais.
Illustr musicale: Robert SCHUMANN - concerto en la - andante grazioso
En fa majeur, ce second mouvement distille un sentiment de joie sinon d’espièglerie par ses donnant-donnant qui s’échangent entre le soliste et l’orchestre sur le motif du premier mouvement. La fin du second mouvement rappelle les quatre notes du thème de Clara embelli de guirlandes du piano et le refrain du piano du finale évoque les quatre notes montantes suivies du saut d’octave.
Cassatt peint The Boating Party durant l'hiver 1893-1894 à Antibes, sur la Côte d'Azur, elle a alors 49 ans. C'est une peinture inhabituelle dans l'œuvre de Cassatt. Bien qu'elle montre le thème familier dans l'œuvre de l'artiste d'une mère et d'un enfant, la plupart de ses autres peintures sont situées en intérieur ou dans des jardins. Elle est considèrée comme « l'une des peintures les plus ambitieuses qu'elle ait jamais essayées». On remarque l'équilibre entre la « puissante silhouette sombre du batelier », l'angle entre l'aviron et le bras qui « pousse puissamment au centre de la composition vers la mère et l'enfant » qui sont au contraire des silhouettes « délicates et féminines ». Cassatt a placé l'horizon en haut du cadre comme il est coutume de le faire dans l'art japonais.
Illustr musicale: Robert SCHUMANN - concerto en la - andante grazioso
En fa majeur, ce second mouvement distille un sentiment de joie sinon d’espièglerie par ses donnant-donnant qui s’échangent entre le soliste et l’orchestre sur le motif du premier mouvement. La fin du second mouvement rappelle les quatre notes du thème de Clara embelli de guirlandes du piano et le refrain du piano du finale évoque les quatre notes montantes suivies du saut d’octave.