COURBET, l homme desespere 1854 - PROKOFIEV, concerto pour piano n3
COURBET, l homme desespere 1854 - PROKOFIEV, concerto pour piano n3
Gustave COURBET - l'homme désespéré 1845 () COURBET, l homme desespere 1854 - PROKOFIEV, concerto pour piano n3
Gustave COURBET - l'homme désespéré
On ignore si le titre de cette toile qualifie le désespoir du personnage et donc de l'artiste ou bien s'il s'agit d'un exercice théorique. Cet homme que l'on disait amoureux de la vie voulait-il montrer par là son côté sombre, comme il le révélait à un ami dans une lettre : « Avec ce masque riant que vous me connaissez, je cache à l’intérieur le chagrin, l’amertume, et une tristesse qui s’attache au cœur comme un vampire ».
"Je cache à l’intérieur le chagrin, l’amertume, et une tristesse qui s’attache au cœur comme un vampire " Gustave COURBET - Lettre à son mécène Alfred Bruyas 1854
illustr musicale: PROKOFIEV - concerto pour piano n3
l'allegro enchaîne en doubles croches martelées, à l'issue desquelles le piano entre et expose le premier thème, rapide et brillant. Un deuxième thème ironique précède un andante central qui reprend le thème initial, développé ensuite par le soliste. S'ensuit de nouveau un tempo allegro, où alternent des glissandos et des accords très appuyés, avant que le deuxième thème ne soit repris. Enfin la coda virtuose conclut ce premier mouvement avec éclat et conviction.
On ignore si le titre de cette toile qualifie le désespoir du personnage et donc de l'artiste ou bien s'il s'agit d'un exercice théorique. Cet homme que l'on disait amoureux de la vie voulait-il montrer par là son côté sombre, comme il le révélait à un ami dans une lettre : « Avec ce masque riant que vous me connaissez, je cache à l’intérieur le chagrin, l’amertume, et une tristesse qui s’attache au cœur comme un vampire ».
"Je cache à l’intérieur le chagrin, l’amertume, et une tristesse qui s’attache au cœur comme un vampire " Gustave COURBET - Lettre à son mécène Alfred Bruyas 1854
illustr musicale: PROKOFIEV - concerto pour piano n3
l'allegro enchaîne en doubles croches martelées, à l'issue desquelles le piano entre et expose le premier thème, rapide et brillant. Un deuxième thème ironique précède un andante central qui reprend le thème initial, développé ensuite par le soliste. S'ensuit de nouveau un tempo allegro, où alternent des glissandos et des accords très appuyés, avant que le deuxième thème ne soit repris. Enfin la coda virtuose conclut ce premier mouvement avec éclat et conviction.