MODIGLIANI, portrait de jeune fille 1916 - PENDERECKI, concerto pour piano
MODIGLIANI, portrait de jeune fille 1916 - PENDERECKI, concerto pour piano
Amedeo MODIGLIANI - tête de jeune fille en rouge (1916) MODIGLIANI, portrait de jeune fille 1916 - PENDERECKI, concerto pour piano
Ses œuvres, aux formes étirées et aux visages sans regard ressemblant à des masques, demeurent emblématiques de l'art moderne de cette époque.
Amedeo Clemente Modigliani, né le 12 juillet 1884 à Livourne (Italie) et mort le 24 janvier 1920 à Paris (France), est un peintre figuratif et sculpteur italien de l'École de Paris.
Se considérant initialement comme sculpteur, ce n'est qu'à partir de 1914 qu'il se consacre exclusivement au dessin et à la peinture de portraits et de nus. Il meurt prématurément, malade et alcoolique
Illustr musicale: Krzysztof PENDERECKI - concerto pour piano
Krzysztof Penderecki, depuis une bonne vingtaine d’années, donne l’impression d’avoir une conception ludique de la musique. À moins qu’il ne s’agisse d’une conception strictement expérimentale, ainsi que le montre son curieux et long Concerto pour pianoforte et orchestre, qu’il a écrit en trois temps, en 2001, 2002 et 2007, et qui comprend dix mouvements de longueur très inégales (d’une minute à six minutes). Ce sont pour ainsi dire dix improvisations soutenues par un orchestre toujours très en verve, mais en accord parfait avec le pianoforte.
Amedeo Clemente Modigliani, né le 12 juillet 1884 à Livourne (Italie) et mort le 24 janvier 1920 à Paris (France), est un peintre figuratif et sculpteur italien de l'École de Paris.
Se considérant initialement comme sculpteur, ce n'est qu'à partir de 1914 qu'il se consacre exclusivement au dessin et à la peinture de portraits et de nus. Il meurt prématurément, malade et alcoolique
Illustr musicale: Krzysztof PENDERECKI - concerto pour piano
Krzysztof Penderecki, depuis une bonne vingtaine d’années, donne l’impression d’avoir une conception ludique de la musique. À moins qu’il ne s’agisse d’une conception strictement expérimentale, ainsi que le montre son curieux et long Concerto pour pianoforte et orchestre, qu’il a écrit en trois temps, en 2001, 2002 et 2007, et qui comprend dix mouvements de longueur très inégales (d’une minute à six minutes). Ce sont pour ainsi dire dix improvisations soutenues par un orchestre toujours très en verve, mais en accord parfait avec le pianoforte.