MORISOT (Berthe), le berceau 1872 - FAURE (Gabriel), romance sans parole op17
MORISOT (Berthe), le berceau 1872 - FAURE (Gabriel), romance sans parole op17
Berthe MORISOT - le berceau 1872 () MORISOT (Berthe), le berceau 1872 - FAURE (Gabriel), romance sans parole op17
Berthe MORISOT - le berceau 1872
Sans conteste le tableau le plus célèbre de Berthe Morisot. L'artiste y représente l'une de ses soeurs, Edma, veillant sur le sommeil de sa fille, Blanche. C'est la première apparition d'une image de maternité dans l'oeuvre de Morisot, sujet qui deviendra l'un de ses thèmes de prédilection. Le regard de la mère, la ligne de son bras gauche replié, auquel fait écho le bras également replié de l'enfant. Le geste d'Edma, qui tire le voilage du berceau entre le spectateur et le bébé, vient renforcer un peu plus le sentiment d'intimité et d'amour protecteur exprimé dans le tableau.
Illustr musicale: Gabriel FAURE - romance sans parole op17
Éditées en 1880, ces pièces ont été composées par Fauré vers 1863 : il avait 18 ans, et étudiait encore à l’école Niedermeyer. Le pianiste Alfred Cortot avait raison d’écrire qu’elles sont « déjà tout emplies du parfum pénétrant qui émane [des] œuvres définitives » du compositeur, même si elles n’en ont pas encore la profondeur. Son chant, de rythme unique, est accompagné d’arpèges ouvragés.
Sans conteste le tableau le plus célèbre de Berthe Morisot. L'artiste y représente l'une de ses soeurs, Edma, veillant sur le sommeil de sa fille, Blanche. C'est la première apparition d'une image de maternité dans l'oeuvre de Morisot, sujet qui deviendra l'un de ses thèmes de prédilection. Le regard de la mère, la ligne de son bras gauche replié, auquel fait écho le bras également replié de l'enfant. Le geste d'Edma, qui tire le voilage du berceau entre le spectateur et le bébé, vient renforcer un peu plus le sentiment d'intimité et d'amour protecteur exprimé dans le tableau.
Illustr musicale: Gabriel FAURE - romance sans parole op17
Éditées en 1880, ces pièces ont été composées par Fauré vers 1863 : il avait 18 ans, et étudiait encore à l’école Niedermeyer. Le pianiste Alfred Cortot avait raison d’écrire qu’elles sont « déjà tout emplies du parfum pénétrant qui émane [des] œuvres définitives » du compositeur, même si elles n’en ont pas encore la profondeur. Son chant, de rythme unique, est accompagné d’arpèges ouvragés.