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WATTEAU, Deux-cousines - HAENDEL, allegro, As steals the morn upon the night



WATTEAU, Deux-cousines - HAENDEL, allegro, As steals the morn upon the night
(taille reelle)
WATTEAU - deux cousines (1716)


De même que le jour remplace la nuit
en effaçant les ombres,
de même la vérité dissout les rêves
et laisse surgir la raison

Antoine WATTEAU - deux cousines
Dans un parc verdoyant, un galant offre une rose à sa belle, qui la glisse dans son corsage, tandis que, debout, la « cousine » se détourne du couple pour regarder dans le lointain. La taille svelte, la tête droite, la coiffure relevée dans un chignon, elle donne son originalité à la scène, symbolisant solitude et abandon, alors que tout autour appelle au bonheur. Les "Deux Cousines" représentent la quintessence de l’art d’Antoine Watteau (1684-1721).

illustr musicale:
G.F. HAENDEL - As steals the morn upon the night ... (oratorio l'allegro le penseroso le moderato)
Ainsi, s'inspirant de poèmes de John Milton, écrivait en 1740 Charles Jennens, librettiste de Haendel dans "L'Allegro, il Pensiero ed il Moderato" : autant dire l'homme joyeux, l'homme songeur et leur réconciliation en l'homme modéré.
As steals the morn upon the night,
And melts the shades away:
So Truth does Fancy's charm dissolve,
And rising Reason puts to flight
The fumes that did the mind involve,
Restoring intellectual day.

Comme vole le matin à la nuit,
Et fait fondre les nuances de suite:
Donc, la vérité ne charme Fancy dissoudre,
Et la raison en hausse met en fuite
Les fumées qui ne comportent l'esprit,
Restauration jours intellectuelle.











sarabande
Sa version pour orchestre symphonique du film Barry Lyndon de Stanley Kubrick en 19753, devient une des plus célèbres musiques de film de l'histoire du cinéma, avec un Oscar de la meilleure musique de film 1976
La Sarabande de Haendel, HWV 437, est une célèbre sarabande baroque pour clavecin seul, publiée en 1733 par le compositeur britannique d'origine allemande Georg Friedrich Haendel, extraite de la suite no 4 en ré mineur HWV 437 de ses neuf suites pour clavecin de 1733, HWV 434-442 (ne pas confondre avec l'air (sarabande) en mi majeur, pour violon et basse continue HWV4252).