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Belfast Street Art, summer of 69

Mac WILLIAMS (David), days of pearly spencer
date de publication: lundi 30 novembre -1

Y penser sans cesse ne labourera pas le champ

proverbe irlandais


Belfast Street Art, summer of 69
Une peinture murale, à Hopewell Crescent près de Crumlin Road, illustrant la dévastation de l'été (et en particulier d'août) en 1969. Les premiers jours dee "Troubles" ont vu un mouvement massif de personnes et la destruction de maisons. La vue des meubles jetés dans la rue et le mot « pris » peint sur une maison vide à côté d'une maison incendiée ne s'oublient pas.

Illustration musicale: David Mac WILLIAMS - days of pearly spencer
La chanson a un "style scintillant, presque documentaire" dans lequel elle emmene les auditeurs dans les parties les plus délabrées de Ballymena où les gens traversent les décombres pieds nus semblant vieux au-delà de leurs années.

A tenement, a dirty street Walked and worn by shoe less feet
Inside it's long and so complete Watched by shivering sun
Old eyes in a small child's face Watching as the shadows race
Trough walls and cracks and leave no trace And daylight's brightness shuns

The days of Pearly Spencer
The race is almost run

Nose pressed hard on frosted glass Gazing as the swollen mass
On concrete fields where grows no grass Stumbles blindly on
Iron trees smother the air But withering they stand and stare
Trough eyes that neither know nor care Where the grass is gone

The days of Pearly Spencer
The race is almost run

Pearly where's your milk white skin ? What that stubble on your chin?
Buried in the rot gut gin You played and lost not won
You played a house that can't be beat Now look your head's bowed in defeat
You walked too far along the street Where only rats can run

The days of Pearly Spencer
The race is almost run

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Un immeuble, une rue sale, parcourue et usée par des pieds sans chaussures
À l'intérieur, c'est long et si complet, regardé par le soleil frissonnant
De vieux yeux dans le visage d'un petit enfant regardant la course des ombres
A travers les murs et les fissures et ne laisse aucune trace et la lumière du jour fuit

Les jours de Pearly Spencer
La course est presque terminée

Le nez pressé fort sur le verre dépoli Regardant la masse gonflée
Sur des terrains en béton où ne pousse pas d'herbe, trébuchant à l'aveuglette
Les arbres de fer étouffent l'air, mais en se flétrissant, ils se tiennent debout et regardent
A travers des yeux qui ne savent ni ne se soucient de là où l'herbe est partie

Les jours de Pearly Spencer
La course est presque terminée

Nacré où est ta peau blanche comme du lait ? C'est quoi ce chaume sur ton menton ?
Buried in the rot gut gin Tu as joué et perdu pas gagné
Tu as joué une maison qui ne peut pas être battue Maintenant regarde ta tête baissée dans la défaite
Tu as marché trop loin dans la rue où seuls les rats peuvent courir

Les jours de Pearly Spencer
La course est presque terminée