------adlt-03-beau soleil interieur-11@copiaa------adlt-03-beau soleil interieur-11@copiaa être belle pour lui ()
Je voulais être belle pour lui, pour cette premiere nuit à deux, lui apparaître toute en séduction, prête à être dévorée par cet homme vigoureux et affamé. J'ai glissé ma main à la base de sa nuque. J'ai alors, dans mon cou, ressenti sa bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur mon épaule, puis, plus bas ... Avec une douceur presque féminine, il carressé mes hanches puis mes épaules, effleurant les pointes de mes seins saillant sous le tissu. En totale confiance, je redécouvrais ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement.
Arrivés dans la chambre, Je guidai sa main pour qu'il dénoue ma robe legere, qu'il retira lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Je l'ai entrainé vers le lit en en regardant intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, en signe d'invitation ... et il s'est glissé sur moi, au contact direct de la chaleur de mon corps.
Il semblait heureux, épanoui, comblé. Je lui ai souri tendrement. Je lui ai caressé, le torse, le ventre ... puis je l'ai guidé vers moi, il s'est alors enfoncé tout doucement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud. C'était si bon. Il m'a penetré avec tendresse, et delicatesse, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui. Il semblait bien. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, en signe d'encouragement ...
J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui. Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-viens, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge. Bien calé en moi, il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Au bord de mes yeux deux perles s’épanchaient. Le souffle court, il me baisait avec passion, envahissant ma fente des amours tant rêvés, s'unissant à moi, désormais sa tendre maîtresse.
J'avais compris les sentiments qu'il éprouvait dans sa manière de me dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. J'étais prête totalement en abandon au jeu suave de ses lèvres, sur ma poitrine généreuse, sur mes tétons frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à mes pulsions, mes désirs réprimés. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, puis il reprenait ses longs mouvement, glissant délicieusement dans mes chairs.
Alors que nous goutions tous les deux les delices de nos douces caresses, je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondai de ma douce chaleur liquide. Je sentai qu'il ne tarderait plus, lui non plus à sentir monter la jouissance. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Il s'est mis alors à onduler puissamment du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient.
Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin nous faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi.
- Maintenant ! ... Viens vite !
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de moi. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait.
Et son premier jet vint napper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Il jaillissait au fond de moi, comme s'il voulait l'incendie dans laquel il naviguait avec passion. Dans la foulée tout mon corps se mit à trembler convulsivement. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de la jouissance amoureuse. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses dernieres offrandes, puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.