----16-serv-12-debcpt-t-122----16-serv-12-debcpt-t-122 un vrai mâle ! ()
Lorsqu'il s'est retiré de moi, sortant sa longue verge gluante de mon fourreau trempé, je suis revenue lentement à la réalité, je restais là, debout adossée au mur, devant lui, comme dans un rêve éveillé, m'affolant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. J'ai réalisé alors ce que nous avions fait. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, le long de mes jambes. J'étais ouverte comme jamais. chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil.
J'ai repensé toute la nuit à ses caresses et ses succions sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait puis giclait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos
Quel mâle ! Quel homme ! comme je les aime ! J'aime son regard éperdu au moment de l'orgasme, ses râles de plaisir. Il m'a remplie de lui. Il m'a irradiée de sa chaleur. Il s'est vidé dans mon ventre. Son foutre est en moi et coule entre mes jambes. Sa queue s'est glissée doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il semblait épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je sentais le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Je sentais que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. J'aurais voulu le garder en moi encore un moment, le sentir se relacher complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la piece.