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J’ai posé mes mains sur ses épaules et mes doigts se sont mis en action, ont commencé à fermement malaxer le corps de mon beau patron. Me tournant le dos, il ne me voyait pas. Mais à en juger par son souffle rauque, il prenait visiblement son pied dans cette activité improvisée par mes soins.
Depuis deux ans que je travaille à ses côtés, nous nous sommes rapprochés. Souvent, avant de quitter le bureau ou lors d’une pause improvisée, il m’invite à partager un café. A croire qu’il apprécie ma compagnie. Il me confie ses petits soucis personnels. j’ai ainsi appris qu’avec sa compagne du moment, le quotidien était compliqué. Comme lui, sa compagne est cadre dans une grosse société. Lorsqu’il la retrouve le soir, elle est aussi épuisée que lui. Je me suis surprise à ressentir de la jalousie, de l’envie. Il était temps que je montre à mon boss à quel point j’étais capable de prendre soin de lui.
C'est ainsi que deux jours plus tard, en allant le rejoindre pour partager notre traditionnel café, et le trouvant beaucoup plus fatigué que d’habitude, je me suis levée, sure de moi, et je me suis placée derrière lui pour lui masser les epaules. En fait, je me suis rapprochée et fait en sorte que sa tête repose sur mon genereux décolleté. Je sais que mes seins sont sources de fantasmes chez les mâles du bureau ! Et comme j’ai toujours eu l’âme d’un séductrice, je fais en sorte de systématiquement les mettre en valeur. Il n’a opposé aucune résistance. J’ai osé une parole grivoise, ne serait-ce que pour savoir si j’avais le feu vert pour aller plus loin dans notre rapprochement soudain : Sa tête s’est laissée aller à la renverse, il souriait béatement. J’ai osé glisser la paume de mes mains le long de son torse. Quelques doigts se sont aventurés sous le tissu de sa chemise, un bouton à sauté. Son ventre était chaud, son torse saillant… j’étais en train de vivre un de mes plus grands fantasmes : faire craquer mon patron ! Un rapide coup d’œil à son pantalon a confirmé que ma mission était en bonne voix : ce beau mâle bandait comme un cheval !
J’ai retourné son fauteuil face à moi, le toisant d’un regard fiévreux de désir. A la fois amusés de le voir perdu, ne sachant trop quelle réaction avoir… et excitée d’avoir un contrôle total de la situation. Il était à moi. J’ai posé l’index sur ses lèvres en murmurant « chut ».
J'ai rapidement fermé le loquet du bureau, puis me suis positionnée face à lui sans le quitter du regard. Nous étions clairement en train de passer un cap. J’étais comme hypnotisée par sa virilité gonflée pour moi ! Peut-être se rendait t-il compte qu’il était en train de franchir une barrière, celle de l’adultère et ainsi changer définitivement nos rapports. Il n’en a pas eu le temps. En quelques secondes, j’ai ouvert son pantalon pour libérer son potentiel, bien bandé qui arriva naturellement entre mes lèvres chaudes, il a alors relevé ma jupe pour qu’elle ne soit plus qu’une ceinture autour de mes hanches. Il a écarté ma fine combinaison sur le côté ... et il m’a pénétrée. il reprenait le pouvoir ! j’étais là pour son seul plaisir, pour qu’il se soulage ! Son sexe s’est enfoncé en moi jusqu’aux bourses. Je le fixais toujours, à la fois innocente et allumeuse, cela le rendait fou. Le premier va-et-vient a été puissant, entier. la suite toute aussi intense. Il me limait maintenant avec ardeur. Ses bourses claquaient bruyamment contre l’entrée de mon vagin. Il me tenait par les hanches, me baisant sans aucune reserve, avec une intensité toujours croissante. Je ressentais toute sa frustration sexuelle disparaitre enfin, il trouvait dans ma chatte docile le salut d’une réelle libération.
J’ai relevé les cuisses pour mieux le sentir me penetrer. J’avais le bas ventre en fusion. Je mordais mon poignet pour ne pas crier de plaisir. Dans un dernier soubresaut, je l’ai senti se coller fortement à moi, des spasmes dans les jambes. Il s'est arrêté et a longuement haleté. Puis il s'est vidé au fond de moi sans la moindre gêne, sans même me demander la permission. Pendant quelques secondes, il est resté planté en moi, comme pour reprendre ses esprits. Puis il s’est redressé, a laissé glisser son sexe ramoli pour le ranger encore poisseux dans son pantalon. J’étais toujours avachie, les jambes ecartées sur son bureau, mon intimité offerte maintenant souillée. Son sperme dégoulinait du mien, son courrier en était tâché tout comme son clavier d’ordinateur. Il n’était plus le même. Les couilles vides, je voyais bien qu’il avait pris conscience de mon potentiel sexuel.
Nos relations évoluerent vers un rapport dominant soumise que je n’avais pas vu venir. Mais au final, n’est-ce pas ce que je désirais du plus profond de mon être ? Il a pris sa veste de costume, ne m’accordant même pas un regard puis a souri :
- Demain matin, quand vous m’apporterez le café, s'il vous plait, ne mettez pas de culotte !»