---05-adlt-02ote3i---05-adlt-02ote3i ce soir là ()
Ce soir là, je l'avais invité à me rejoindre dans l'intimité de ma chambre. Je voulais lui apparaître toute en séduction, J'avais enfilé une belle chemise de nuit de soie rose laissant mobile mes généreuses poitrines, prêtes à être dévorées par un homme vigoureux et affamé, mes cheveux en un chignon savamment arrangé. Nous nous somme regardés un moment. Puis, prenant les devants, j'ai libéré ma chevelure, et l'ai étalé sur ma nuque et mes épaules, les joues de Louis se sont empourprées. J'ai prolongé mon audace, glissant ma main à la base de la nuque de Louis, il s’est laissé faire et m'a serrée dans ses bras.
Il y a si longtemps. J'avais bien eu un ou deux amants, mais rien de semblable. Cet homme audacieux, ranimait un érotisme dont j'avais oublié jusqu’à l'existence. Et maintenant, j'espérais qu'il franchisse toutes les limites. J'ai alors, dans mon cou, ressenti sa bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur mon épaule, puis, plus bas ... Je l'ai embrassé avec fougue, la fièvre dans nos regards, une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. A chacune de ses respirations, je ressentais ma lourde poitrine gonfler et cet effleurement tout en chaleur éveillait chez moi une troublante envie qu'il dévore mes seins.
Avec une douceur presque féminine, il caressa mon corps, glissant une main chaude sous ma chmise de soie. En totale confiance, je redécouvrais ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Je redécouvrais les bienfaits des caresses masculines, l’agréable douleur des morsures tactiles sur mes seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant mes entrailles avant qu'il ne mouille mes belles dentelles intimes ... Je redécouvrais combien il est bon de désirer et d’être désirée. Je savais dans son regard qu’il allait m'aimer, si ce n’était jusqu’au bout de la nuit, au moins jusqu’au bout de ses désirs.
Je l'ai regardé intensément dans les yeux, il s'est rapidement deshabillé et m'a rejoint dans le lit, au contact direct de la chaleur de mon corps. Il semblait heureux, épanoui, comblé. Je lui ai souri tendrement. Je lui ai caressé, le torse, le ventre, puis j'ai pris doucement sa verge, déjà bien bandée, en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus. Je lui ai souri. Alors sans attendre plus longtemps, tendrement, il s'est glissé sur moi, me couvrant de baisers des pieds jusqu’à la tête, et j'ai senti sa dure et longue verge chercher et, avec mon aide, trouver naturellement sa voie, et il m'a pénétrée ... doucement, lentement, profondément. Il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, Il a alors entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Je lui soufflai à l'oreille:
- Louis, Je veux que vous vous perdiez en moi, je veux toute votre joie, donnez moi tout de vous !
Au bord de mes yeux deux perles s’épanchaient. Le souffle court, son sexe bandé à l’extrême, il me baisait avec passion, envahissant ma fente des amours tant rêvés, s'unissant à moi, désormais sa tendre maîtresse.
- Je vous aime, Marie, j’ai tant besoin de vous !
J'avais compris les sentiments qu'il éprouvait dans sa manière de me dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. J'étais prête totalement en abandon au jeu suave de ses lèvres, sur ma poitrine généreuse, sur mes tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à mes pulsions, mes désirs réprimés. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, puis il reprenait ses longs mouvement, glissant délicieusement dans mes chairs. Je fus alors secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondai de ma douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Il plongeait en moi et gonflait en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Il s'est mis alors à onduler puissamment du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient.
- Marie ! ... Je crois que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps !
Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin nous faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi.
- Oh ... Louis ! ... Maintenant ! ... Je suis prête !
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait,
- Louis ! ... Venez ! ... Vite !
Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard.
- Oh Marie ! ...
Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient.
- Oh Louis ! ... C'est si bon ! ... Continuez ! ... Encore !
- Bien au fond ! Je veux toute votre joie au fond de moi !
Je sentis un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple.
- Oh Marie !! ....
Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.
- Louis ! Vous êtes si tendre, si genereux et desirable ! ...Vous m'avez comblée. Ne vous inquiètez pas de mes larmes, Louis. Je pleure de joie. vous êtes mon bel amant !
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.
Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.
Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Louis fut tendre et vigoureux à la fois, infatigable de son corps. Ses jouissances furent intenses, furent violentes. Les miennes furent sauvages. J'entends encore résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.
- Louis, le soir, dans ma chambre, j'ai souvent rêvé de vous ouvrir mes cuisses pour que vous veniez vous y glisser et vous abreuver du plaisir que nous nous sommes donné.
J'ai alors écarté mes cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour qu'il découvre ma fente gourmande. Le regard qu'il me porta alors oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte qu'il allait honorer, c'était moi, j'étais en train de me donner à lui, là sous ses yeux ébahis et brillants de désirs intenses. Son approche était encore malhabile, timide, mais mon regard reflétait un encouragement à plus d’audace de sa part. Je le regardais fixement, dans l’attente discrète qu'il m'appose ses lèvres sur mon sein, puis sur mes lèvres intimes, émouvantes tant elles lui étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. S’approchant doucement de mon trésor, entre mes cuisses ouvertes, il s’est alors délecté de cette humidité entourant mon bouton merveilleux, gorgé d’impatience.