03-cptr-a3-128@rue03-cptr-a3-128@rue soirée sous la lune ()
C'était une soirée mondaine, la musique était douce. J'étais sur la terrasse, appuyée sur la rambarde, reveuse, je contemplais les astres dans la nuit. Il est arrivé derrière moi, et tout en s'appuyant légèrement contre moi, il a engagé la conversation:
- La lune est belle ce soir, vous ne trouvez pas ?
J'acquiesçais, et je perçus alors très nettement ses mains se poser sur mes hanches. Je soupirais en lui répondant, amusée
- Elle est bien seule là-haut, vous ne pensez pas ?
Il accentua alors la pression sur mon bassin, et caressa mes hanches de bas en haut, tout en me susurrant à l'oreille
- Elle mérite d'etre explorée, vous ne trouvez pas ?
Il se serrait encore un peu plus contre moi. Glissant ses mains le long de mes épaules, ses paumes emprisonnerent très doucement mes seins et, de ses pouces, il se mit à caresser lentement mes petits mamelons fermes et souples. Il me fit ce commentaire:
- La lune est bien ronde ... et elle a de jolis reliefs !
Je soupirai en forme de reponse, en entrant consciemment dans son jeu. Tout en continuant à me caresser un sein, je l'ai senti passer son autre main plus bas. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
- Il y a tant de terres inconnues à explorer, lui concédais-je
J'entrais sans complexe entièrement dans son jeu. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais. J'étais en train d'abdiquer. J'étais en train de m'abandonner à lui. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras.
- vos mains sont chaudes ! ... Et douces !
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer des reliefs indécents de son pantalon, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Ses mains remontaient tout doucement sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais des reliefs prometteurs, je les caressais et les massais doucement, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque ses intentions. Je le sentai febrile contre moi, je me laissai faire, il me serrai par la taille, j'aimais bien et je lui fis comprenfdre
- Je rêve de beaux moments d'abandon avec cet air si pur !
Je me sentais une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité. Mon décolleté troublant ne lui cachait que peu mes poitrines généreuses enveloppées dans dans de jolies dentelles. J'étais mûre et je sentais que lui aussi !
- Je retourne dans ma chambre ... vous m'accompagnez ?
Il me regarda en souriant, les yeux brillants avec un sourire gourmand. mon corsage était à peine fermé, baillait sur mes fortes poitrines. A peine isolé dans ma chambre, je me dirigeai vers la salle de bain, il me suivit, mes seins tremblaient doucement sous mon corsage, il devait sentir mon parfum, mélange subtil de mon odeur de femme et de mon eau de toilette, Mes seins débordaient d'un soutien-gorge trop petit, ils bougaient légèrement au rythme de ma respiration. Je me tournai vers la glace, arrangeai mes cheveux, puis ... caressai mes seins, qui débordaient de plus en plus de mon soutien gorge
- Vous m'aidez ... à dégrafer mon soutien-gorge ?
Il fit sauter l’agrafe et me fixa à travers la glace. Il est sous mon emprise. Je m’en amusai. Je restai bien dix secondes poitrine nue. Les seins tombaient à peine, ils s'affichaient beaux, massifs, gonflés et les pointes en saillie. Je pris ses deux mains et les amenai sur mes seins qu'il caressa et palpa avec delice. Il palpait mes seins en titillant les pointes. Je soupirai. Puis je me retournai vers lui et l'attirai à moi. Le baiser fut intense, profond, sa langue chercha la mienne, nos lèvres s'écraserent l'une contre l'autre. Puis je sentis ses mains descendre vers mon ventre, Je commencai alors à defaire sa ceinture. Je l'ouvrai et plongeai ma main dans son pantalon pour jauger son desir. Je passai ma main sur sa nuque, attirai ses levres à la rencontre des miennes, j'entamai un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Je pris ses mains et les posai sur mes hanches, je me detachai de ses levres pour le fixer d'un regard plus intense
- Je suis mure, je crois que vous aussi !
Je dégrafe ma robe, descend la fermeture sur le côté, j'écarte les bretelles. Ma robe tombe, dévoilant ma douce combinaison de soie noire. Je le déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de son désir. Je le caresse, l’embrasse et le suce. Par petites touches féeriques. Sa bouche cherche ma bouche, il cherche mon corps, cherche mes seins, Nous sommes nus l’un contre l’autre. Il caresse mes seins. Ils sont fermes dans leur désir. Je me lève devant lui, le regarde tendrement,
- maintenant, Venez ! ... Je suis prête !
Je l'entraine vers le lit, m'allonge et l'attire vers moi. Je le regarde avec envie, je plonge alors mon regard dans ses yeux,
- Venez vite ! J'ai faim !
Et il s'enfonce en moi, glisse lentement dans mon ventre chaud. Son regard devient vitreux. Je lui presse la taille pour qu'il s'enfonce encore plus loin, j'avance mon bassin, il reprend son élan et recommence.Il arrive au fond de moi et commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Je me mord les lèvres, j'ondule de tout mon corps pour amplifier notre plaisir commun. Il m'embrasse dans le cou, hume mon délicieux parfum pendant qu'il me penetre en douceur. tout mon corps frémit … je suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent ses pénétrations, il s'agrippe à mes hanches, je tourne ma tete dans l’oreiller que j'étreins de mes deux mains, il se mets à me penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans mon corps et m'arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en lui sa semence, prête à exploser,
- Vite ! Allez-y ! Donnez moi tout !
ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Je suis secouée de gémissements et de spasmes. Il s'enfonce au fond de mon ventre, fort, profondemment, et ...il decharge sa sève chaude en plusieurs salves rapprochées. mes muscles etreignent son membre pour l’empêcher de sortir. Je me relache finalement sur le lit en lui souriant. Il caresse mon dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Vous avez été magnifique ! !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives
- Vous restez avec moi cette nuit ?