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jeudi 26 décembre 2024 - 08h34rech / rep
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-----adlt-03-beau soleil interieur-10a

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(taille reelle)
seduction ()

La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. C'est alors qu'elle s'adressa à moi .. Le temps de prendre congé des derniers invités et de refermer la porte derriere eux, elle s'aaprocha de moi, entoura ma tête des ses mains et m'embrassa un long moment sur la joue avec douceur.
- Je suis tellement contente de te garder ce soir chez moi, tu sais !
Apres un temps de silence et un regard plus soutenu, elle m'embrassa une nouvelle fois sur la joue puis tres doucement sur les levres. Quelque chose était en train de s'enclencher sans que aucun de nous deux ne puissions à ce stade prévoir la suite. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion, éclat impudique du désir... et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Et elle ne fit rien pour calmer mon attirance violente. Je la fixai, un peu déboussolé. J'étais sous son emprise. Elle me troublait terriblement,
- Je voulais te dire ... tu es seul en ce moment n'est-ce pas ? ... comme moi ! ....
Elle approcha alors son visage tres pres du mien ... J'eu à peine le temps de realiser ce qui se passait qu'elle fouillait mes lèvres avec les siennes. Ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur. Et ce fut moi qui l’embrassai cette fois sans retenue, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche. Notre baiser fut long et humide. Toute reserve ou retenue avait disparue. Notre baiser dura un très long moment ... elle se reprit un moment en me regardant:
- j'ai envie de profiter de toi ce soir ! ...
- tu crois que c'est pas bien de faire ça ? ...
A titre de reponse, c'est moi qui cette fois-ci reprit nos étreintes. Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes et je glissai la mienne sous son corsage au contact d'une fine combinaison jusqu'à la naissance des seins. Nous reprîmes nos baisers, de plus en plus fougueux, de plus en plus impatients. elle se detacha avec un regard beaucoup plus déterminé:
- ne restons pas là ! ... Viens ! ... je t'emmène ! ...
Elle me prit aussitôt par la main et m'emmena dans le couloir .... Arrivés dans sa chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, elle commença à me deshabiller, je glissai mes mains sous son corsage deja à moitié defait et nous reprîmes nos etreintes ardentes qu'elle interrompit seulement pour me preciser ses desirs,
- Tu as envie ! .... et j'ai envie ! .... profitons-en ... ok ? ....
- J'avais preparé ta chambre mais c'est dans la mienne que j'ai envie de t'avoir cette nuit ! ...
- je te demande un petit moment ... je voudrai me faire belle pour toi ! ....
- Installe toi ! ... commence à te mettre à l'aise .... j'arrive ! ...
Installé sur le lit, j'étais attentif à chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je devinai dejà des bruissements de tissus. Le parfum épicé de fragrances érotiques baignait la chambre. Puis elle entra enfin, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce d'une sensualité pregnante. Rayonnante de séduction, une chemise de nuit fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines, elle me troublait autant qu'elle m'attirait.
- Est-ce que je te plais ? ...
S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle s'assit à mes cotés puis glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Je glissai discrètement une main sur sa robe de nuit , puis dessous. Elle m'embrassa avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit qu'elle ouvrit febrilement. Elle s'y allongea, achevant de me débarrasser de ma chemise trop sage.