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Nos deux corps étaient desormais allongés l'un contre l'autre. J'avais envie d'elle, et elle avait envie de moi. Je la désirais, elle me desirait. Je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien, toujours est-il que je me sentis glisser avec délice dans ses chairs intimes, comme aspiré en elle. Elle m'accueillait chez elle avec gourmandise, naturellement, avec douceur. Je la pénétrai ... lentement, profondément.
- Je rêvais de ce moment tu sais ! ....
Desormais, nus sous les draps, corps à corps, glissant nos peaux l'une contre l'autre, Je voyageai dans son corps doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. Elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois. Je glissai dans un étui chaud et humide. Tel un poulpe, son ventre me suçait, me lissait, aspirait ma verge gorgée de sang, l'engloutissait et la brûlait. J'étais ivre, je tremblai. Je brûlai. La sensation était profonde, sensuelle, humide. Elle me donna ses levres en regardant les miennes tout en m'aspirant dans ses chairs. La langueur de ce contact chaud et vivant autour de la partie la plus intime de mon corps me perdit dans une béatitude mystique qu'elle semblait partager avec moi,
- tu es chez moi ! .... tu es bien ? ... je suis heureuse tu sais ! ... profitons de ce moment ! ...
Elle me buvait des yeux je la buvais des yeux, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, elle était bien, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'immiscai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente, un étui chaud et humide entourait ma verge, l'engloutissait et petit à petit l'absorbait. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé.
- c'est bon de faire l'amour tu ne trouves pas ? ... et avec toi c'est merveilleux ! .... j'en rêvais tellement tu sais ! ....
Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir entre ses muqueuses trempées. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente.
- je ne voudrai pas ... dis moi ? .... Elle me fusilla des yeux
- Non ! Ne te retire pas ! ... Ne t'inquiete pas. je ne risque plus grand chose maintenant !
- ta vas jouir en moi ! ... Bien au fond de moi ! ça me fait plaisir ! ...
Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle m'attira vers elle, ses yeux humides de plaisir. Elle se mit à jouir. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson, le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle m'aspirait, je me vidais en elle. Elle aspirait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon sexe qui trempait dans nos secretions abondantes. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Elle finit par me regarder avec un franc sourire,
- j'ai adoré ! ... pas toi ? ...
- tu es maintenant mon amant ! ... mon bel et tendre amant ! ... tu réalises ? ...
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur infinie, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous revenions à la réalité.