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jeudi 26 décembre 2024 - 08h15rech / rep
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-----adlt-03-beau soleil interieur-10c

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(taille reelle)
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Nos mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, j'oscillai en elle, de plus en plus profondement. Elle m'aspirait comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Doucement le rythme s'accélèra.
- On continue jusqu'au bout ? .... lui demandai-je pour être sur de ce que nous faisions
- oui, vas-y ! me rassura-t'elle, j'en ai si envie ! ...
Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de mon sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue. Elle se mit à gémir doucement, puis, honorant mon érotique intrusion de spasmes et de frissons, elle enfonça presque inconsciemment ses ongles dans mes fesses, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. Au bord de ses yeux noirs, deux perles s’épanchaient, deux larmes de plaisir délatrices d’émotion. Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion, envahissant sa fente des amours interdites. Elle comprit vite les sentiments que j'éprouvais dans ma manière de la dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. Elle se prêta totalement en abandon au jeu suave de mes lèvres, sur sa poitrine généreuse, sur ses pointes frissonnantes, jusqu’à ne plus pouvoir résister à ses pulsions, ses désirs réprimés.
- Je ne voudrai pas ..... veux-tu que je me retire ? ....
- Non reste ! ... donne moi tout ! bien au fond ! ... à mon age, je ne risque plus grand chose ! ...`
Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Elle se cabra, m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle.
- s'il te plait .... maintenant ! .... viens ! .... lache-toi! .... jouis avec moi ! ....
N'y tenant plus, je me bloquai au fond de ses entrailles. Je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle se mordilla les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Puis je m'affaissai sur son corps. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, puis toute ma tête nichée au creux de son épaule.
Une fois les spasmes apaisés, je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Nos cuisses étaient imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. Je la sentais encore toute ouverte pour moi. Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne croies pas ?
Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos humeurs intimes. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Cette minute où nous nous désenlaçâmes valaient bien ces moments intenses que nous venions de vivre ensemble. elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion qui nous fit rire tous les deux.