-----adlt-05-cpt-w1-138 copie-----adlt-05-cpt-w1-138 copie reveil amoureux ()
J’étais dans le lit aux cotés de Marthe, nous étions à peine reveillés. La lumiere était encore éteinte, nous nous regardions, attendant fievreusement un signal l'un de l'autre. Elle m'esquissa un sourire et murmura simplement:
- Tu viens ? ...
Je suis venu doucement sur elle. Sa main me guida discretement et naturellement je me glissai en elle. Elle s'ouvrait, tendre et humide, elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je sentais ses douces caresses intimes, . J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Son souffle était lent. Je la pénétrais doucement, tendrement, puis restais un moment en elle sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre.
- Redonne moi tes lèvres me supplia-t'elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience.
- Continue ! ... Bien au fond ! ... C'est si bon !
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Mes mouvements reprennaient, plus amples, ma verge plongeait en elle et gonflait en meme temps. Elle remuait pour bien me sentir envahir ses muqueuses, me faisant découvrir sur mon sexe bandé les douces contractions de sa vulve tendre et tiède.
J'accélérai peu à peu, ma douce excitation devint un désir plus ardent, Elle ferma les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, tout son corps semblait jouir de mes pénétrations rythmées. Elle était maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je sentais mon plaisir, mon envie de me lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore.
- Tu veux...maintenant ? lui demandai-je
- Non...Pas encore... me repondit-elle en ajoutant:
- c'est si bon !
Et pourtant, son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. J'oscillais en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. Elle esquissa une grimace, elle inclina son bassin pour que je la pénètre plus au fond, Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres, doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisais avec passion. Je m'agrippai à ses épaules et repris mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle semblait prise de vertige. Je me concentrais sur mon enorme sexe qui la fouillait et qu'elle semblait aimer. La transpiration perlait entre ses seins, Je lui donnais du plaisir, elle me le rendait au centuple. La pensée de mon enorme sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me supplia-t'elle, Viens ! Viens vite !
Je saisis alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mes mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Elle se cabra, je poursuivai ma chevauchée. Elle jouissait et je continuai. Elle me sentit venir, Elle me tira vers elle ... je crispai mon regard ..... et fou d’un désir intense, je ne parvenais déjà plus à me retenir, j'arrêtai net, jouissant à me faire perdre la tête dans son corps. j'explosai en elle ! lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Nous en gémissions de bonheur.
Puis je m'effondrai avec des grondements d'ours blessé. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Elle conserva un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avons joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sens encore toute ouverte pour moi.
- Tu es mon bel et merveilleux amant, me declara-t'elle avec un sourire à me faire fondre definitivement
Nous avons fait l'amour longtemps, tu m'as remercié de tes caresses appuyées, de tes enlacements enfiévrés, du plaisir que tu ressentais. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Tu n'y étais pour rien. J'ai été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre.
Je me suis retiré d'elle, lentement. La minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien ces miments. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À mon réveil, la voyant découverte, je craignis qu’elle n’eût froid. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir dormir me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. J’embrassai Marthe sur l’épaule. Elle ne s’éveilla pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Elle sursauta, et, se frottant les yeux, me couvrit de baisers, Nous avobns refait l'amour, merveilleusement
S’arrachant à moi, elle s’était saisie du premier vêtement à portée de sa main, enveloppant sa nudité d’une tendancieuse provocation. Elle avait enveloppé son exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de ses seins blancs Lorsqu’elle avait quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais vu se défiler la silhouette d’une femme que j' adorais. Ses cheveux ébouriffés, ses yeux cernés de bleu, m’avait ému, m’avait troublé, tant Marthe se révélait bien plus amante que je n’y croyais.