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jeudi 26 décembre 2024 - 07h40rech / rep
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-----adlt-05-jnadult

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(taille reelle)
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Elle était mère célibataire, la cinquantaine. Je me souviens très bien de cet après-midi. j'étais venu chez elle l’aider à monter des étagères un jour où je ne travaillais pas. Elle travaillait comme secretaire dans le même service que moi. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seul avec elle. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, elle me questionnait sur moi, sur mes relation sentimentales, sur mes gouts. Je la trouvais tres desireuse de plus d'informations, elle me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Flatté, voire troublé par les regards de ce belle femme mûre, je la devisageai du coup avec un tout autre regard. Une fois le travail terminé elle me remercia
- Tu es un ange ! me lança t'elle en m'embrassant comme une mère embrasse son fils.
Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Nous n'aurions peut-être pas dû ... Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, elle a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. En retour, j'ai osé un baiser timide dans son cou, elle ne reagissait pas, puis mes mains sont descendues jusqu’au creux de ses reins. Je devinai, inconscient, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Elle me laissait toujours faire, et j'étais de plus en plus excité par cette aventure inopinée. Que s'est-il passé ensuite ?
Ensuite ... Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre, mes mains se sont égarées sous son pull pour m'emparer de ses seins. Les pointes ont durci sous mes doigts. Elle s'est laissée aller à ces douces caresses, oubliant que j'avais 15 ans de moins. Je ne contôlais plus rien, elle non plus apparement. J'en profitai, et elle en profitait elle aussi. Elle comme moi étions instinctivement prêts desormais à precipiter les choses ...
- Ou est ta chambre ? lui lançai-je de manière impudique
- tu crois que c'est sérieux ? ... demander ça à une femme beaucoup plus âgée que toi ? me répondit elle soudainement affolée, tout en ajoutant quelques instants plus tard:
- elle est au fond du couloir ! ... on y va ? ... emmène moi ! ...
Sans qu'elle oppose la moindre resistance, je la pris par la main jusqu’à sa chambre. Elle trouva ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant !
- ferme la porte ! ... et viens vite ! ...
Une fois enfermée dans sa chambre, Ma bouche se mit à parcourir son corps de la tête aux pieds, m’attardant sur ses seins, mes mains explorant ses tresors intimes, de plus en plus humides. Je bandai à la limite de l'indecence, n’attendant plus maintenant qu’une chose : ne plus nous arrêter en chemin. Elle me lança:
- C'est osé ce que nous faisons, tu ne crois pas ? ... tu ne crois pas, alors pourquoi se priver ? .... soyons fous ! ....
Tout en échangeant de fougueux baisers, nous nous déshabillames avec febrilité. Doucement je l'entrainai et l'allongeai sur le lit, puis m'étendai sur elle. Son regard se figea sur mon engin que je sortai de mon pantalon et que je pointai vers elle, tout en la fixant d'un regard de feu ... Elle me guida vers elle. c'est alors que, sans attendre plus longtemps, je me glissai d'un coup en elle, entre ses muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de sa matrice. Arrivé à bon port, je levai les yeux, en attente de sa réaction, un peu comme si j'avouais une grosse bêtise. Pour me rassurer, elle me caressa le visage et s'accrocha à mon cou, me laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée.
- moi aussi, j'ai envie tu sais ! ... me precisa-t'elle, il y a si longtemps ! ...
Doucement, elle enveloppait mon sexe qui s'enfoncait en elle, et la remplissait, j'étais aux anges, baignant dans ses humeurs intimes comme dans une bain mielleux. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce.
- tu es maintenant chez moi ! ... tu es content ? ....
Je goutai ses douces moiteurs, un glissement onctueux, une penetration lente. Je lui faisais sentir ma queue qui dansait en elle, elle balançait son bassin au rythme de mes allées et venues cherchant à me faire rentrer encore plus profondement. Je la regardai avec des yeux de plus en plus brillants.
- c'est bon, que c'est bon, c'est divin ! ... moi aussi tu sais, j'aime ! .... et en plus, tu es redoutablement efficace ! ....
Avec application elle m’aspirait, me tirait vers elle en jouant de son corps. Elle me donnait du plaisir en se donnant du plaisir, nous en gémissions de bonheur tous les deux. J'effectuai d'amples va et viens, doucement, interminablement, en la fixant toujours avec des yeux humides et en surveillant ses réactions. Elle m'encouragea sans reserve.
- Tu me remues les entrailles ! Je fond !
Petit à petit, elle absorbait toute la longueur de mon sexe, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Elle pouvait sentir mes reliefs noueux contre ses parois intimes. La sensation était délicieuse, affolante. Je me penchai vers ses lèvres pour les embrasser sans interrompre mes puissants va et viens. Ces pénétrations massives et rapides finirent par lui couper le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je me retenai de toutes mes forces, et elle essayait d'en faire autant. Je commençai alors à me retirer d'elle craignant l'explosion imminente, elle m'en dissuada...
- Non ! Reste ! ... Ne t'inquietes pas ... A mon age je ne risque plus grand chose !
- tu peux jouir en moi ! ... Bien au fond de moi ! vas-y, ça me fait plaisir ! ....
Ma frénésie redoubla. J'étais en sueur, elle aussi. Elle voulait jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Je me sentis venir. Elle se mit alors à jouir sans retenue. Ce fut pour moi le signal: Je m'enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Le trait m'échappa ... et je me libèrai completement, me laissant aller en elle, sans retenue, inondant son ventre en abondance. Je giclai ma sève par spasmes riches et généreux. Elle digerait mon gland qui trempait dans nos secretions intimes. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans ses yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, ma tête dans le creux de son épaule, mon sexe emboité dans le sien, baignant dans nos abondantes secretions. Nous etions complètement déboussolés et tombaient tous les deux dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions doucement à la réalité. Je venais de baiser une belle femme mûre. Je devenais son amant et curieusement, elle semblait s'en trouver bien, elle avait retrouvé toute sa jeunesse !
- tu veux venir chez moi ce soir ? .... je t'attends ! ... ok ? ...

Arrivé le soir chez elle, elle me fit cette aveu:
- Depuis ce matin, je ne cesse de rêver de vivre avec toi une plus grande intimité ! ...
Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes et je glissai la mienne sous son corsage au contact d'une fine combinaison jusqu'à la naissance des seins. Nous reprîmes nos baisers, de plus en plus fougueux, de plus en plus impatients. elle se detacha avec un regard beaucoup plus déterminé:
- tu as envie ? .... Moi aussi j'ai envie ! .... ma chambre est au premier ... je t'emmène ?
Arrivés dans la chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, nous reprîmes nos etreintes ardentes qu'elle interrompit seulement pour me preciser ses desirs,
- J'avais preparé ton lit mais c'est dans mon lit que j'ai envie de t'avoir cette nuit ! ...
- tu veux bien partager mon petit coin secret ? ....
- je te demande un petit moment ... je veux me faire encore plus belle pour toi ! ....
- Installe toi ! ... commence à te mettre à l'aise .... j'arrive ! ...
Installé sur le lit, j'étais attentif à chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je devinai dejà des bruissements de tissus. Le parfum épicé de fragrances érotiques baignait la chambre. Puis elle entra enfin, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce d'une sensualité pregnante. Rayonnante de séduction, une chemise de nuit fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines, elle me troublait autant qu'elle m'attirait.
- Est-ce que je te plais ? ...
S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle s'assit à mes cotés puis glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Je glissai discrètement une main sur sa robe de nuit , puis dessous. Elle m'embrassa avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous. Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit qu'elle ouvrit febrilement. Elle s'y allongea, achevant de me débarrasser de ma chemise trop sage.