----12-missa3-09@ adlt4----12-missa3-09@ adlt4 plénitude des reveils amoureux ()
Je me laissai glisser doucement en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans son étui tendre et doux. Elle s'offrait à moi, totalement. un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Elle m'offrait ses douces caresses intimes. Je glissai maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Je lui caressai les cheveux et le visage et elle me murmurait à l’oreille
- C’est bon ! ... Tu me fais du bien, tu sais !
Son souffle était lent. Je la pénétrai doucement, tendrement, puis restai un moment en elle sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlaient l’une à l’autre. Je sentais mon membre s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Elle m'offrait ses petites contractions intimes. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre.
- Redonne moi tes lèvres me suppliait-elle pendant que je glissai merveilleusement dans ses chairs
Le contact n’était plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. voulant manifestement m'appeler à plus d'audace en m'adressant un sourire teinté d'impatience.
- Continue ! ... Bien au fond ! ... C'est si bon !
J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était lent, puissant, profond. Ses muscles intimes m'emprisonnaient encore plus étroitement. Mes mouvements reprennaient, plus amples, ma verge plongeait en elle et gonflait en meme temps. Elle remuait pour bien me sentir envahir ses muqueuses, me faisant découvrir sur mon sexe bandé les douces contractions de sa vulve tendre et tiède.
J'accélérai peu à peu, sa douce excitation devint un désir plus ardent, elle fermait les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, tout son corps jouissait de mes pénétrations rythmées. Elle était maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, elle sentait mon plaisir, mon envie de me lâcher, mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore.
- Tu veux...maintenant ? lui demandai-je
- Non...Pas encore... me repondit-elle en ajoutant:
- c'est si bon !
Et pourtant, son regard dans le vague semblait déjà en réclamer davantage. J'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, elle digérait sa proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge était sèche. J'esquissai une grimace, elle inclinait son bassin pour que je la pénètre plus au fond, je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage, elle se mordillait les levres. Doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment.
- Je veux que tu te perdes en moi, m'avait-elle murmuré, te noyer dans ma source, aime moi et donne moi tout de toi !
Le souffle court, mon sexe bandé à l’extrême, je la baisai avec passion. Je m'agrippai à ses épaules et reprenai mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle semblait prise de vertige. Je me concentrai sur mon enorme sexe qui la fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre ses seins, Elle me donnait du plaisir, je le lui rendai au centuple. Les allées et venues de on enorme sexe dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! le suppliai-je, Viens ! Viens vite !
Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mes mouvements, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Elle se cabrait, je poursuivai ma chevauchée. Elle jouissait et je continuai. Elle me sentit venir, elle me tira vers elle ... je crispai mon regard ..... et fou d’un désir intense, je ne parvenai déjà plus à me retenir, je m'arrêtai net, jouissant à me faire perdre la tête dans son corps. J'explosai en elle, lui delivrant un flot de mon liquide de vie, l'inondant de ma douce chaleur. Nous en gémissions de bonheur.
Puis je m'effondrai sur elle avec des grondements d'ours blessé. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule, conservant un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Nous avons joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins étaient encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Elle restait encore toute ouverte pour moi.
- Tu es mon bel et merveilleux amant, me declara-t'elle avec un sourire à me faire fondre definitivement
Nous avons fait l'amour longtemps, je l'ai remercié de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir que je ressentai. Je m'avouais pervers et imaginatif alors que je ne me connaissais que passif et classique. Elle n'y était pour rien. Elle avait été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre.
Je me suis retiré d'elle, lentement. La minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien ces moments. Le sommeil nous avait surpris dans notre nudité. À son réveil, me voyant découverte, il craignit que je n’eu froid. Il tâta mon corps. Il était brûlant. Me voir dormir lui procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté lui parut insupportable. Il m'embrassa sur l’épaule. Je ne m’éveillai pas. Un second baiser, moins chaste, agit avec la violence d’un réveille-matin. Je sursautai, et, me frottant les yeux, le couvrit de baisers, Nous avons refait l'amour, merveilleusement
M’arrachant à lui, je m’étais saisie du premier vêtement à portée de ma main, enveloppant ma nudité d’une tendancieuse provocation. J'avais enveloppé mon exquise féminité d’une chemise de soie, dévoilant entre pudicité et incitation, la peau satinée de mes seins blancs Lorsque j'avais quitté la couche, décor feutré de nos ébats, j'avais la silhouette d’une femme ardement baisée. Mes cheveux ébouriffés, mes yeux cernés de bleu, l’avait ému, l’avait troublé, tant je me révélai bien plus amante qu'il n'y croyait.