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jeudi 26 décembre 2024 - 08h00rech / rep
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(taille reelle)
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- Vous me sentez ?
- Oh oui, je vous sens bien !
Elle esquissa une grimace, puis inclina son bassin pour mieux me faire entrer en elle. Elle écarta doucement les jambes, je la pénétrais doucement, progressivement, profondement.Comme une humide et molle profondeur, douce et tendre, où je me glissai et me perdai, un abîme intime, clos et lisse, où mon désir s'enfonca jusqu'au coeur..Je n’avais jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Angela soupirait les yeux fermés. Ses chairs s'ouvrirent et son corps peu à peu s'est offert à moi, telle une fleur. j'etais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre etait doux, chaud et etroit, Je la pénétrais doucement, tendrement son souffle etait lent, plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. J’entamai des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connaissais pas
- Je suis bien, et vous ?
- Oh oui, je vous sens bien ! J'aime !
J'atteignai bientot le fond, je restai un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce intrusion. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres. Je glissai delicieusement en elle, prolongeant mon plaisir, palpant ses deux beaux seins dans mes mains ce qui ne tarda pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai de nouveau au fond de son ventre,
- Je vous sens toute ouverte et bien profonde ! Et c'est si bon !
- Votre vigueur me fait du bien !
Je la tenais par les hanches et elle soulèvait son bassin puis se laissait retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient. Enfoncé au fond d'elle, je remuais pour bien la sentir tout en la fixant.
- Vous êtes prête à aller jusqu'au bout avec moi ?
- Je suis toute ouverte pour vous !
Doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Un paradis de douceur me cernait, me buvait. Elle s’ouvrait à moi et me dévorait, sensation délicieuse et presque douloureuse. J'étais en elle, au plus profond d'elle. Je sentais la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartenais à ses entrailles, je faisais partie d'elle, je l’habitais. Tout s'estompait, je ressussitais, je savourais cette douce sensation à l’extrémité de mon être, ce contact intime, cette communion de chairs qui nous soudait l’un à l’autre. Elle bougeait lentement, me caressait, Elle me suçait, s'enroulait et me déroulait. Elle se creusait pour moi, de plus en plus profonde ... pour à nouveau se remplir de moi. Je modulais le rythme, je glissais dans ses chairs. Elle ondulait, légère, agile, fluide, féline. Ses muscles se contractaient et se relâchaient.
Puis elle ferma les yeux, elle se tendit, elle se crispa, Elle haleta, en gémissant de mon corps...
- Oh venez vite !
Elle allait jouir de moi, j'allais jouir d'elle. agonie de plaisir, son plaisir devenait le mien. Elle remuait, imperceptiblement, ouvrant les yeux, cherchant les miens. Elle me serrait de sa bouche amoureuse. Je sentais les contractions qui pulsaient dans sa vulve. je me sentis bientôt emporté, sur le point d’exploser.
- Vous voulez que je me retire ?
- Oh non, restez ! bien au fond, je suis prête ! Remplissez-moi !
Ele me regarda de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, Je prenais ses seins en main, les palpais tout en accelerant mes va et viens. Puis elle se déchaîna soudain, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement, se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, aspirant mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Dès son premier soupir, je ne parvenais déjà plus à retenir mon plaisir,
- Attention ! Je viens !
- Oh oui ! Vite !
Je n’en pouvais plus... jouissant à me faire perdre la tête dans le corps d'Angela, je lâchais tout ... , je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit !
- Oh que c'est bon, vous êtes si douce !
un fleuve de volupté ... Je l’inondais ... et ce flot déclencha en elle des vagues de jouissance.
Puis je m’abattis sur elle, haletant. soulagement, liberation, plenitude Je la serrai contre moi, je l’étreingnis, son visage dans mon cou, son souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de ses reins, sur sa peau lisse et douce.
Je me couchai sur elle, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous restions haletants, apaisés, heureux. Je contemplais sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulaient de nos jouissances.