----adct-andrallongjdybed0056----adct-andrallongjdybed0056 Son regard au fond du mien ()
Son regard au fond du mien, Jeanne m'aspire en elle, joyeusement. Je la sens, elle me sent, elle mouille, elle s'ouvre, je glisse en elle de plus en plus loin, je glisse dans ses chairs. Elle m'aspire, elle m'absorbe, tendre et humide, onctueuse et chaude, Nos corps se réunissent en une complète osmose. Je sens ses douces et chaudes caresses intimes. Son corps tout entier m'enveloppe peu à peu, je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Son souffle est lent. Plus je pénètre en elle, plus il est long et profond. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger. Elle a les yeux fermés, elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semble jouir de ma douce penetration. Elle est maintenant si ouverte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. Elle passe sa main dans mes cheveux, caresse mon visage, se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère. Je sens le plaisir, l'envie de me lacher , mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore.
J’oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Ses yeux se plissent, Je suis alors saisi par une puissante vague d’un plaisir encore plus grand, plus lourd. Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter.
Autour de moi, les lumières tournent, je sens les pulsations dans mon corps, ma gorge est sèche. Elle esquisse une grimace, Elle incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J’entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas. Elle frissonne soudain, puis tremble ..... de plus en plus. Tout son corps vibre accompagné de spasmes intenses. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Puis elle se cabre, elle me serre, ses muscles se raidissent ... ses doigts s'incrustent dans mes chairs. De violentes secousses lui traversent les entrailles... elle jouit dans mes bras !
Je saisis ses seins, je les palpe, les masse. Nos sexes l'un dans l'autre émettent un bruit de succion terriblement sensuel. Ses lèvres trempées suintent sur mon membre et sur mes bourses. Le lit se tache de nos sécrétions, ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle respire fort, ancrée en moi, ouvre les yeux, me tire vers elle, me supplie de lui donner ma sève. Je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps de cette femme que je ne connais que depuis quelques minutes. Je n'en peux plus ! Je me plante au plus profond d'elle ... Et je lui donne tout ! Je me vide au plus profond de son ventre, Un trait, un premier, violent jet de plaisir. Elle me fixe intensément. Un second, abondant, elle sourit et ouvre grand les yeux Un troisième, je sens ses ongles me pénétrer. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles la comble. Un quatrième jet, elle ferme les yeux et tend ses muscles. Un cinquième, poussé loin et long au fond de son ventre. Elle pousse un long râle, se cabre. Un sixième qui avoue sa fin. Elle prend, récolte, cueille, ingère ce plaisir que nous partageons. Je m'effondre sur elle, en sueur, épuisé, avec des grondements d'ours blessés.
Zahra caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. Elle conserve un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Je la regarde aimer mon corps. Elle est belle. Elle rouvre les yeux, étonnée, heureuse. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, emboîtés, assouvis. Tout ce que je veux, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau.
Au bout d,un moment, elle se relève, m'envoyant un généreux sourire d'une grande tendresse, et se rhabille en silence, puis elle vient déposer un très sensuel baiser sur mes lèvres, comme une reconnaissance. Tous deux enlacés sur le lit en désordre, elle murmure à mon oreille:
- Ne bouge plus ! Serre moi contre toi ! Sens mon parfum sur ta peau. Tu me laisses apaisée, comblée.
- Tu as bousculé ma vie. Tu m'as donné ta douceur, ta chaleur ... Embrasse moi, caresse moi ...
- Je veux garder en mémoire ce moment, de tendresse, de douceur,
- Je veux me souvenir de tes soupirs, de ta fougue qui se déclenche quand tu serres tes muscles et que tu n'y tiens plus...
- J'aime ton jet de vie qui m'envahit, ta semence chaude qui inonde mes chairs, et la jouissance qui nous prend, tous les deux.
- Tu es mon délicieux amant secret !
- Ecoute moi: Quand tu reviendras chez moi, je prendrai tes lèvres dès la porte. Nous irons de nouveau, sans parler, dans l'ombre et les coussins, tu m'y feras tomber, longue comme une morte, et, passionnément, tu chercheras mes seins. A travers mon bouquet de voile, ta bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, tu me désireras, jusqu'aux pleurs ! De tes lèvres a mon sein, ta main adroite fera vibrer mon corps intime et moite et exaltera ma chair sensible pour toi. Toi mon amant ami, je t'en prie, reviens moi vite !