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jeudi 26 décembre 2024 - 07h41rech / rep
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Lorsqu'elle a ouvert la porte, elle tres vite compris que j'étais en manque, que j'avais besoin de la douceur d'une femme. J'avais dix-huit ans, plein de santé.
- Tu es bien jeune ! ... me precisa-t'elle
J'étais plutôt beau garçon. Je ne lui ai pas parlé d'amour. Je lui ai simplement dit :
- J'ai envie ...
Elle me fixa d'un regard interrogatif
- Regarde moi ! ...tu as vraiment besoin de douceurs ? ou tu as besoin de te soulager ?
J'avais besoin de sentir le corps d'une femme, lui avouai-je de la tête d'une maniere un peu timide. Alors sans attendre plus longtemps, elle m'emmena dans sa belle chambre au premier etage de l'hotel.
Elle m'aida à me deshabiller. J'étais fasciné par ses seins se balançant doucement devant mes yeux. Elle me laissa les prendre en main et apprecier leur souplesse. Je lui demandai de garder sa combinaison de soie car j'avais envie de la sentir pendant nos accords charnels.
Puis, elle m'a invité a venir avec elle dans son lit. Je me suis étendu sur son corps et sans perdre de temps, je la penetrai, d'un coup, puis je me laissai alors emporter par ma fougue de jeune lion. Agitant vivement mes hanches, je fis coulisser profondément mon membre gonflé dans les moiteurs de son ventre chaud, éprouvant un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue.
- Tu aimes ? ... Ca te fait du bien n'est-ce pas ?
il a alors entamé un ample mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Et je goutais les doux frottements de son sexe dans le mien
- Tu sens comme tu glisses bien dans mon ventre ?
- Reprends tes mouvements, plus profonds, plus amples
Mon jeune amant s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je ne tardai pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Je serrai mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
- Plus vite, mon chéri ! … bien au fond !…
Son membre palpitait dans mon ventre, je fus secouée d'un premier spasme. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inondait d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de mon jeune adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'activa de plus belle, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, l'affolant encore plus. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, et passai mes jambes autour de ses hanches pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je sentai monter la jouissance en moi. Je voulais absolument qu'il me sente jouir. Il s'agrippait à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
- Oui, ... va-y ! ..
Je l'enserrai encore plus fortement entre mes cuisses pour l'empêcher de s'extraire de mon vagin affamé. Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Le contact de ma lingerie soyeuse, la caresse de ma chair tendre sur ses fesses l'électrisait. Et ce fut le signal de l'assaut final. Il banda alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, il empoignait mes deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie. Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il poussa un cri rauque ... et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Je sentis un flot me remplir. Je fus inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur.
- Oh oui ! ... Que c'est bon !
Le jet puissant de mon jeune amant inondait le point le plus profond de mon vagin. A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer ce jeune corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit:
- Eh bien, mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis !
- Tu m'as rempli le ventre, J'en ai de partout…
- C'était bon ? Tu as aimé ? ...
- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir
Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Je revenais lentement à la réalité et laissa glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder un moment le dard de mon jeune amant planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement.
- J'aime tes caresses intimes ... Tu sens ? mes petites contractions amoureuses ?
Mon corps recommença à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'embrassait très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches venaient une nouvelle fois à sa rencontre et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux, nos corps collés l'un contre l'autre. Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque, l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte, puis sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence qui s'écoulait sur mes cuisses. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement.

Il fut mon jeune amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était jeune, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.







Elle provoque, sensuelle. Ses seins sont mobiles, ronds, lourds, ensorcelants. Elle me regarde droit dans les yeux. Je la regarde. Je bande. Il faut faire vite. Elle me devine, elle a compris, mon cœur bat. Elle se rapproche discrètement. Le dialogue est bref.
- C’est un petit hotel. Nous sommes tranquilles mon chou
Elle fouille dans son sac, plonge sa main dans mon pantalon, sort l'engin, m'enfile le préservatif, branle le mou. Je la regarde, je bande. elle roule sa robe jusque sous ses bras. Son corps est beau. Une couleur légèrement ambrée. Des seins relevés, j'y porte les mains. Je voyage dans mon rêve à deux cents francs. Elle reprend le branle. Elle commence à me sucer. Elle s’agite autour de ma queue. Je me raidis, je me tends, je me libere. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif. Je regarde son corps une dernière fois. Elle remet sa robe, range ses affaires. J'ai rangé mon sexe.
- Tu es prêt ? lui dit-elle, on sort ?…
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mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Un peu timide, je l'ai fait rentrer et je l'ai tout de suite introduis dans le vif du sujet. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se plaqua vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir monta. Son sexe devint enorme. Il me regarda avec une imploration muette. Je lui souris. il me caressa les cheveux, puis sa main se referma sur ma nuque j'avançais mon visage vers son sexe, et j'obtempèrais à son caprice d'enfant gâté. Je l'accueillis dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. J'avais maintenant envie de le prendre enfin en moi



Je l'ai allongé sur mon lit, et je l'ai caressé sur le tors puis plus bas, j'ai testé son état d'excitation, Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir monta. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant.
- Je vais te faire une petite gaterie, tu vas sentir, c'est très agreable !
Son sexe devenait enorme. Il me regarda avec une imploration muette. Je lui souris. il me caressa les cheveux, puis je descendai doucement mon visage vers son sexe, et je l'accueillis dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre frissonait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. Je me suis alors écarté, et l'ai regardé dans les yeux. Ses yeux, je le voyais bien, semblaient en reclamer davantage
- Tu as envie de faire l'amour ?
Il acquiesça avec un sourire d'envie ...
- Viens ! ... lui dis-je en lui prenant sa main et en l'emmenant vers mon lit
J'avais maintenant envie, moi aussi, de le prendre en moi. Nous avions, lui comme moi, besoin l'un de l'autre. Je me suis alors allongée en soulevant les draps pour qu'il puisse me rejoindre, et je me suis offerte à lui.
- Rentre doucement.. pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...



- Viens ! Approche toi !
- Aies confiance ! N'aies pas peur de moi !
- Tu as envie de faire l'amour ? ...
- ou simplement ... te soulager ?
- Tu viens ?
- Caresse de tes doigts ma douce lingerie de soie
- A tes mains mes courbes sont offertes
- à toi, la douceur de ma peau sous ta caresse experte
- Pose tes mains sur mes seins
- Palpe-les et interpelle leurs rondeurs rebelles
- Sens ! Ils réagissent et pointent à ton tactile appel.
- Sois enrobant, modèle, pétris ces pommes rondes,
- Tu fais naître chez moi un élan qui pointe vers tes yeux.
- Regarde les, palpitants, arrogants, Ils se dressent vers toi,
- Ils brandissant leur émoi, ils bandent de désir
- Ils réclament tes lèvres, tes mains,
- A ta bouche je t'offre ma peau douce ... avant les secousses
- sache mordre mes rondeurs ... avant les chaleurs
- hume le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes
- écoute bruire le plaisir qui s'annonce entre nous
- Ton sexe vient à grandir aux portes que tu viens d'ouvrir...
- A ton désir mon corps t'est offert
- Croque le, maintenant !

- Viens contre moi, que je sente ta peau contre la mienne
- Donne moi tes lèvres. Enflamme ma bouche
- Effeuille moi doucement. Fais éclore mon buste, degage mes appats.
- Tes yeux brillent, je le vois, devant mon corps nu.
- Avec tes doigts, souligne mes rondeurs. Effleure mon sein, qu'il gonfle sous tes doigts,
- Noie moi de caresses, de tes joues, de tes lèvres.
- Caressons nous ces sublimes instants,
- Je m'abandonne à toi, toute en ébullition.
- Mon corps tout entier est prêt à se donner peu à peu, telle un offrande.
- Telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à toi, ne le vois-tu pas ?
- Viens et glisse-toi doucement en moi
- J'ouvre mes ailes pour toi ! Viens en moi, je t'en prie.
- Tu es là, Je te sens, sillonne-moi de ton membre,
- prend le temps, arrete-toi et sens mes tendres caresses intimes.
- Investis bien mon ventre chaud !
- Tu vois ? Le désir monte en moi femme révélée
- Non...Pas encore... Pas trop vite ! Prend le temps ...
- Profite de mon corps, je profite du tien !
- Reprend ta course tendre au plus profond de moi,
- Sens mes douces contractions
- je veux te sentir encore, durcir et grandir dans ma chair, C'est si bon !
- Tu es doux ! Je te sens vivre ! au plus profond de moi !
- Et maintenant ... Accélère ! ... Plus vite ! ... Mon corps a faim de toi !
- Je suis prête ! Donne moi tout ! Réchauffe vite mon corps de ta semence chaude,
- Oh oui ! ... Comme c'est bon ! ... Continue ! Inonde moi de toi !
- Reste bien au fond de moi. Restons l'un dans l'autre,
- Restons enlaces, nos sexes emboités, délicieusement, toi mon bel amant !
- Ne t'inquiète pas de mes larmes. Je pleure de joie.
- Garde moi dans tes bras encore quelques instants,
- Ne bouge pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
- Dans quelques minutes, nous reprendrons la route et tu me ramèneras chez moi, heureuse.