----mag-julie-03----mag-julie-03 Julie 2 ()
- ca va mieux ? ... ta as plein de ressources dis moi ! ..
Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Nous restons l'un dans l'autre, nos sexes emboités, délicieusement, Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances. Cette lingerie, pleine de son odeur, pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir, cette lingerie que j'ai écartée un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle, cette lingerie qui alors s'est impregnée de ma jouissance et de la sienne, qui me fait comme un souvenir le jour durant, cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses, cette lingerie si remplie de nous deux,
- C'est si bon ! ... ton prenom ? .... merci Alex
- vous êtes tres doué Alex ! .... vous saurez tres bien la satisfaire !
Julie se redressa dans le lit, les seins à l'air sortant de sa lingerie de soie insolente et a moitié défaite. Je rebandais à la limite de l'indecence, elle se saisit de ma queue encore imbibée de nos secretions et la suça soigneusement de ses lèvres chaudes, elle la branla, la fit danser entre ses doigts, ardente, sensuelle à souhait ! J’avais encore envie terriblement de la baiser alors qu'elle s’employait à me masturber, palpant mes bourses, les gardant au fond de la paume de sa main (oh combien chaude !), m’embrassant sur la bouche, et tout ceci se terminait par des bruits mouillés, gloutons qui n’eurent de cesse de me faire monstrueusement bander entre ses mains … Je suçai les seins de Julie, tétant delicieusement ces petites pointes dressées, aréoles dilatées, je les gobais de toute ma bouche affamée… Julie devait être très sensible car elle semblait jouir par les seins. J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait de nouveau fureteuse. Elle s'installa de nouveau sur moi, à califourchon et s'enfila sans attendre ma divine queue qui, bientôt la prit à fond en des mouvements saccadés… Elle se masturbait sur moi, ne me quittant pas des yeux
- Oh, Alex, C’est si bon ... vous me rendez folle…
Elle criait, haletait, caressant d’une main ses seins agités … Il n'en fallait pas plus pour que j'explose et que je me repande en elle. Je giclai ma semence à petits flots, enfilant à fond ma divine maîtresse, mes mains sur ses fesses pour mieux la retenir contre moi… Julie jouissait comme folle, griffant les draps d’une main, continuant à titiller son clitoris, à le pincer, à s’enfoncer deux ou trois doigts, telle une furie, les yeux au ciel, le regard perdu, mourant … Qu’il était bon de contempler cette femme mûre, belle à souhait, là, au creux de ce lit se donnant du plaisir sans retenue, sous mes yeux, dépourvue de pudeur… Comme il était bon d’être à présent réunis, soudés, son visage dans mon cou, pendant que je la baisais
- plus vite, Alex, mets-la à fond, ouiiiii, ouiiiii, je suis folle, mon Amour…
Nous étions soudés, fous de sexe. Je sentis la cyprine de Julie couler doucement, mes bourses imprégnées de ce beau jus intime que cette divine femme, pressée là sur mes fesses, me faisait partager… Puis elle délaissa ma verge et, haletante, ébouriffée, rouge, encore toute excitée, vint s’étendre à côté de moi, seins dressés aux belles aréoles rose-brun.
Mon sexe reprenait peu à peu de sa vigueur cherchant le fossé si doux et chaud qu'il venait de quitter
- Tu bandes encore mon chéri, je te sens tout contre mes cuisses, ajouta-t-elle en tournant légèrement la tête vers moi
De fait, je bandais de plus en plus, les rondes fesses m’excitant au plus haut point… et je recommençai à jouir en elle, un petit flot bouillant projeté profondément dans le ventre. Je ressortis de suite… poussai de nouveau … déchargeai… un autre beau flot brûlant, puis je revins à fond et déposant mon foutre en obole aux fins fonds de l’abysse satiné… je me vidai définitivement, haletant, suant, essoufflé, rouge, vidé de mon foutre… Un long filet de foutre blanc épais s’écoulait peu à peu de sa chatte, longeait les lèvres gonflées par le plaisir, se perdait ensuite dans mes poils et à la racine de ma queue, toujours fichée en elle … le foutre ne s’arrêtait plus… lave gluante … sa vulve expulsa une petite giclée blanche, molle, un peu translucide, gélatineuse qui commença à s’écouler sur le drap en petites gouttes étirées et flasques…
Nous prîmes un petit encas, bûmes un peu de champagne et nous nous couchâmes, tous deux enlacés pour tenter de trouver un sommeil réparateur… Il était deux heures du matin. Apaisés, épuisés, les yeux cernés, nous nous endormîmes, abandonnés et sereins. Le lendemain, nous devions partir en voiture pour le Vercors où nous attendait notre vieil Ami le Berger, nous ayant proposé de nous recevoir pour une semaine sur ses hauteurs, près de ses pâturages, en sa cabane confortable et isoléeJulie repartit à ses occupations
Le Marquis de Chair