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jeudi 26 décembre 2024 - 08h17rech / rep
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(taille reelle)
Elle me buvait des yeux ()

Je la regardai avec envie. Elle me buvait des yeux. Elle se dirigea vers moi, puis se colla le dos contre moi une main sur mon pantalon ... Elle me fusilla du regard:
- Dis moi ? ... Je sens quelque chose ... là, plus bas ! ....
- Mais si ! .... Ne me raconte pas d'histoire !
Elle était contre moi, et je sentais sa main chaude qui commençait à me caresser l'indecent relief de mon pantalon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui suggerer de s'arrêter, craignant que nous n'allions trop loin. Mais elle ne s'arrêtait pas !
- Tu sais que tu m'impressionnes toi !
J'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand elle a commencé à faire glisser sa petite culotte. Le pire est que je ne faisai rien pour l'en empecher, elle glissa subrepticement le fin tissu dans ma poche et me precisa son état d'esprit:
- Je n'ai plus rien sous ma robe !
- Je suis étroite ! ... Et bien profonde ! ... Ca te dit ?
- Tu viens ?
C'en était trop ! Elle me provoquait, je n'y tins plus ! Je la desirai, et elle me desirait. Tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui exprimai mon impatience d'elle, de son corps. Sans attendre, elle se retourna, me fixa dans les yeux, tout en extirpant mon sexe douloureux de mon pantalon qu'elle commenca à branler ...
- Prends moi ! Là ! Tout de suite ! à l’abri des regards !
- Baise-moi, comme un loup, comme un chien en rut, oui, là, maintenant !
- Cette soirée nous appartient ... jusqu’au petit matin
- Je veux sentir tes allers retours en moi ! Je veux te sentir coulisser dans mon corps
- Sauvagement, profondement ... pour que les murs s’en souviennent.
Elle me conduisit vers mon objectif désigné et je la pénètrai d'un coup, puissement, elle hoqueta, un instant surprise. Puis elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant,
- Tu m'impressiones ! ... Nous sommes bien partis tous les deux !
Puis nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je glissai en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, elle était bien, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. son souffle était lent. Elle me caressait de ses muscles, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, legerement, puis plus profondément, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Je lui agrippai les hanches pour la garder sous mon contrôle. Je m'arretai un moment en me souciant de son bien être
- Je te veux bien gros, bien dur, bien long ... et bien profond ! ... Oui, comme ça ! Tu es un maître !
Puis mes mouvements se firent plus amples, je plongeai en elle et gonflai en meme temps. Ma verge occupait maintenant son espace tout entier. Elle me faisait découvrir les douces contractions de sa vulve tendre et tiède, je me sentai aspiré, absorbé par son corps. La douce excitation devient un désir plus ardent,
- Continue ! Je te sens bien !
Elle ferma les yeux, offerte, chaude, et douce à l'interieur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittais plus le sien, j'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avalait, m'absorbait, digerait ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sentais les pulsations de son sexe trempé sur ma verge, elle me pressait, je ressortai, poussai encore plus profondément. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. je sentis à un moment mon plaisir s'annoncer, mon envie de me lâcher. Son regard dans le vague semblait en réclamer davantage
- Pas encore ... Je veux que tu jouisses avec moi !
Doucement le rythme s'accélèra. Je m'agrippai à ses épaules, et repris mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle fut prise de vertige, la transpiration perlait entre ses seins, La pensée de mon sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit-elle
Elle inclina son bassin pour que j'aille plus au fond. je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait de plus en plus. Elle se cabra, je poursuivai ma chevauchée. Elle jouissait encore et je continuai. Je m'activai dans sa chair, fou d’un désir ardent, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou,
- Maintenant ... Viens vite ! ... Donne moi tout ! Bien au fond !
J'étais déjà sur le point de non retour, je me suis bloqué d'un coup au fond de ses entrailles, j'ai senti mon sexe se raidir, se contracter. Elle s'agrippa à mes fesses et me tira vers elle. Je poussai un cri rauque et long ... et mon premier jet vint gicler au fond d'elle, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Elle se contracta autour de ma verge prises de spasmes et de secousses. Je jouissais dans son corps, à me faire perdre la tête. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordilla les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je continuais à décharger en elle en salves successives. Je ressortai, entrai de nouveau, m’arrêtait. Elle manifesta son admiration
- Quel Homme ! ... Et quelle offrande ! ... Je suis remplie !
Puis je m'affaissai sur son corps avec des grondements d'ours blessé. Je lui envoyai une dernière giclée, me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus. Je restai là contre elle, ma queue toujours bloquée en elle. Elle était inondée d'une douce chaleur et en gémissait de bonheur. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Je sentis ma verge se rétrécir, libérant en abondance nos sécrétions amoureuses.
Lorsqu'il fallut passer ensuite à la partie la plus delicate, le désarrimage, pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallut attendre que mon mat se degonfle. Je le sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes dans un bruit de succion un peu indécent, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! Aucune reaction autour de nous
Nous nous sommes rapidement eclipsés

Une fois arrivés dans sa chambre, je déboutonnai febrilement sa robe, je dégrafais avec avidité son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activerent sur ses seins, je l'embrassai, la lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Les gémissements de ma déesse augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais d'un coup en elle. Nous fîmes l'amour comme des bêtes, toute la nuit
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé. Elle conservait dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient nos paupières.