----secr-02-assisebfN0A@600x321----secr-02-assisebfN0A@600x321 le mercredi suivant (d'apres Jacques Lucchesi) ()
- Eh bien Jerôme, rentrez ! Ne soyez pas timide ! ... appellez moi Viviane. Nous nous connaissons maintenant !
Viviane alla fermer la porte derriere nous et revint vers moi, elle s'approcha de moi et sa bouche se colla à la mienne comme une ventouse et j'en profitais. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre. Elle s'installa face a moi, assise sur son bureau: elle me fixa avec fermeté
- Nous avons un peu de temps avant de nous mettre au travail ...
D’une main sèche, elle jeta alors au sol les dossiers qui l’encombraient. Puis, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, et me désigna de l’index la cible sans détour.
- Allez, viens vite ! ... J'ai envie de te sentir envahir mon ventre !
Elle m'attira vers elle avec autorité, puis elle s'affaira sur moi, défit nerveusement ma ceinture, sortit ma queue, glissant mon gland le long de sa fente. Elle se cambra et d’un coup de rein, elle m'aspira en elle, m'enfoncant jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud.
- Je te veux bien gros ... bien long ... et bien profond !
- Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Baise moi ! ... Avec ardeur ! Comme tu sais si bien faire !
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. Apres une serie d'allers et venues dans ses chairs, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, et commencai à me retirer pour eviter l'eruption imminente
- Non ! Reste ! ... Et jouis ! ... Bien au fond !
- J'ai pris mes precautions ... Viens vite ! ... Decharge ! ... mon corps a faim !
- Je veux que tu remplisses mon vagin !
Elle contracta ses muscles intimes, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me crispai, me bloquai au fond de son ventre et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Elle resta là devant moi, les yeux ebahis, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond.
- Et bien ! Quelle vigueur .... quelle generosité !
Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'a mis !
- Jerôme, je ne me doutais pas que tu avais autant de ressources !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.
(Jacques Lucchesi, La directrice est en entretien).