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- Eh bien, rentrez ! Ne soyez pas timide ! ...
À lire le désir qui décrispait les traits fins de la patronne lorsqu'elle me fit entrer dans son bureau, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste. Alors qu'elle allait fermer la porte derriere nous, je m'interrogeais, un peu perplexe sur ce qu'elle pourrait bien exiger de moi. J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, son parfum de femme, entêtant, son regard planté dans mes yeux, puis sur mes lèvres. Son souffle me troublait. Son corps tout entier semblait a l'affut. Ma respiration s'est alors précipitée. Elle s'est approchée un peu plus, ses yeux toujours fixés sur mes lèvres, sur ma bouche ...
- Je m’appelle Viviane. Et vous ?
- Jérôme ? c'est un joli nom ! Il vous va bien ! ... Jerôme, j'ai besoin de me faire une idée sur vos dispositions, j'ai besoin d'un engagement total, vous comprenez ? ....
Ses yeux projettaient plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Eclat impudique de sensualité, et ce magnetisme soudain de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle me provoquait. Elle retourna vers la porte, pour lui donner un tour de clef. J'entendais au même moment, derriere la porte, la voix de l'autre secretaire repondant au telephone que le directrice était en entretien et donc non disponible. Nos regards se sont figés l'un dans l'autre. Elle s'installa face a moi, assise sur son bureau: elle me fixa avec fermeté. D’une main sèche, elle jeta alors au sol les dossiers qui encombraient a surface du bureau. Puis elle me fixa droit dans les yeux, puis sur mes lèvres, et soudain, elle se colla à ma bouche comme une ventouse. Elle resta ains une dizaine de secondes me laissant sans voix, avant de faire un premier bilan:
- Jerôme, tes lèvres sont chaudes ! ... J'aime ! me declara-t'elle avant de reprendre le meme travail
Un moment surpris je tachai de me ressaisir. Puis, emporté par l'événement, après tout, pourquoi pas me dis-je, j'en profitais donc de bonne grace. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre dans un maelström tout à fait inattendu. Vraiment, elle ne doutait de rien.
- Et bien Jerome, je vois que tu es plein de ressources ! ... je te tutoie, tu n'y vois pas d'inconvénients ?
Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle m'attira vers elle avec autorité, prit ma main et l'amena entre ses cuissses chaudes. Puis, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, elle me désigna de l’index une cible sans détour:
- Maintenant, Viens ! Je t'attends ! ... Ne sois pas timide
Je restais sans voix. Devais-je céder à tous ses caprices ? Je la sentais chaude et mouillée d'excitation. Puis elle s'affaira sur moi, défit nerveusement ma ceinture, elle m'agrippa par les hanches, me guida, se cambra et d’un coup de rein, elle m'aspira en elle, absorbant mon sexe jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud. Scene incroyable, là, sous sa robe, j'étais en train de baiser ma patronne, mon sexe était bel et bien en train de glisser profondement au fond de son ventre, aussitôt soumis a de puissantes caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Je me sentais littéralement gobé, aspiré en elle, je la pénétrai jusqu'à la garde. Mon torse recevait ses seins lourds. Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. J'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Je la penetrai naturellement, sans effort, me glissant doucement dans sa moite intimité, ses jambes enlaçant mes hanches. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me sussurer des mots tres chauds. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'approchai inexorablement du point de non retour. Je sentais mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, me crispai, commencai à me retirer pour eviter l'eruption
- Non reste ! Bien au fond ! Tu vas jouir en moi ! Nous allons jouir ensemble ! Tu vas me donner le meilleur de toi !
Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur mon sexe. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et elle jouit devant moi en serrant les dents. Puis elle se reprit et me fusilla du regard. Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, nos corps frémirent. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétrissai les seins, à travers la robe. Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. le plaisir l'emporta, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Emboîté en elle, nous fîmes l'amour comme des bêtes. Il fallait maintenant attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai devant moi, prostrée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles, sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de nos secretions amoureuses. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil !
Elle était aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
Elle s'essuya discrètement et m'invita à venir chez elle sans plus tarder. Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit