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- Alex ! ... Mon corps a faim !
Nos lèvres à nouveau s'ecraserent l'une contre l'autre. Mon torse recevait ses seins lourds. Corps à corps. Exaltation des sens, caresses, j'étais ivre, je tremblais, je brûlais.
- Je suis toute ouverte !
- J'ai envie de te sentir bouger en moi ! ...
- Tu viens ? ... Rentre vite ! ...
Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien en train de doucement la penetrer, aussitôt soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Je me sentais littéralement aspiré en elle, j'étais en train de la baiser, en toute simplicité. Je la penetrai naturellement, sans effort, me glissant doucement dans sa moite intimité, ses jambes enlaçant mes hanches. Elle resserra ses jambes, ce qui ne fit que m'exciter davantage. Son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me sussurer des mots tres chauds. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. Elle me fixa et me murmura dans l'oreille,
- Fais-le moi bien dur, bien gros, bien long ! ... Et bien profond !
Je l'entendais gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient, je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux. Elle se mit à jouir devant moi en serrant les dents. Puis elle s'agrippa a moi et me fusilla du regard,
- Je veux que tu jouisses dans mon ventre !
- Je t'en prie, viens vite !
- Tu m'entends ? Envoie moi ton jus ... bien au fond de moi ! Remplis moi !
Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, jusqu'à ce que finalement je m'enfonce jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Elle m'agrippa par les épaules pour ne pas crier pendant que je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. La profondeur de son ventre, un abîme de jouissance. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, nos corps frémirent. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétrissai les seins, à travers la robe. Elle râlait de plus en plus. fougueusement. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille. le plaisir l'emporta, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait Notre jouissance fut rapide, sauvage et partagée. Emboîté en elle, nous faisions l'amour comme des bêtes. Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Je buvais son souffle et j’avais du mal à me retirer d’elle, tellement je bandais. Puis, progressivement, une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude.
Lorsque je me suis retiré lentement, sortant mon long membre gluant de son fourreau trempé, je la laissai allongée, ouverte, indecente presque, sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur les draps. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Nous avons fait l'amour toute la nuit !
Elle s'affaissa sur moi, tout aussi épuisée que moi. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ...
Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir chez elle sans plus tarder.
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe, dégrafais
fébrilement son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit