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Apres cette chevauchée intense, elle me regarda avec tendresse. Nous nous regardions l'un l'autre. Elle avait 40 ans, elle était ma nouvelle secretaire, de longs cheveux blonds bouclés tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine que j'avais tout de suite reperée, une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous venions de faire sauvagement l'amour là dans mon bureau. Elle semblait épuisée, comme moi.
Lentement, comme à regret, j'ai senti ma queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de son ventre, liberant un flot de mon jus. Elle mit un certain temps pour reprendre ses esprits. J'étais aussi épuisée qu'elle. Je regardais nos deux sexes gluants de nos secretions intimes, sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Je voyais le liquide poisseux se répandre entre ses fesses et sur ses cuisses qu'elle serrait, par pur réflexe.
Je venais de jouir en elle, et la laissait maintenant là, les cuisses ouvertes, béante. L’air frais sur sa toison humide lui donnait le frisson. Trempée, ouverte, obscène presque. Mon sperme chaud s'écoulait hors de son ventre, sur ses cuisses. Elle se sentait sans force.
Au depart, elle avait failli refuser, mais j'ai su m'y prendre et elle m'a cedé sans complexe son corps et son ventre, dans lequel j'ai joui abondement et me suis répandu en une veritable apothéose
Elle était toujours là devant moi, elle me fixait à nouveau avec un regard d'envie, je me remis à bander devant elle, sans retenue. Elle reprit mon sexe, qui durcissait et s'allongeait à vue d'oeil et le disposa en face du sien,
- Tu veux bien ?
- Oh oui ! ...
J'acquiescai, je le poussai un peu en elle, puis, plus loin, puis, le ressortit, avec un bruit de succion terriblement erotique. Je m'enfoncai enfin bien au fond, écartai bien ses chairs rosées et fit durer le plaisir. puis j'accélèrai dans le magma liquide declenchant un bruit de clopotis terriblement obscene. Je n'en pouvais plus. Elle jouissait, et moi aussi !
Je me suis vidé de nouveau dans son ventre, n'en finissai plus de me vider en elle !
Apres l'avoir baisé deux fois dans mon bureau, je me suis rhabillé en hâte, sans mot dire et, après lui avoir baisé les lèvres , je me suis rapidement glissé hors du bureau en lui donnant rendez-vous pour le lendemain.