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Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere.
Elle tourna son regard dans ma direction, me fixa, plus intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. J'étais sous son emprise. Elle semblait s’en amuser. Elle me troublait terriblement. Mecaniquement, je me rapprochai d’elle un peu plus, sans précipitation ni brusquerie, j’entamai la conversation avec des banalités. Elle était réceptive, tour à tour grave et ironique. Nous discutions librement mais ses yeux brillaient d'un eclat ravageur, elle ne quittait plus mon regard, je ne quittais plus le sien. Je lui faisai part de mon admiration pour les belles femmes. C'est alors qu'elle me prit par le bras, m'emmena un peu à l'écart et testa mes dispositions reelles
- Mais ... dis-moi ? Est-ce qu'au moins, je te plais ? ... Tu me fais danser ? ...
Elle me provoquait, me troublait, je tentais de dissimuler les manifestations exterieures de mon émoi jusqu'à ce qu'elle me souffle:
- reste tranquille, et serre moi contre toi !
Elle me souffla quelques mots à l'oreille d'une voix à peine perceptible, comme si elle me confiait un secret. Faisant comme si je n'avais rien entendu, je la regardais, un peu déboussolé, je sentais contre moi sa poitrine se gonfler au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, ne sachant pas vraiment comment reagir. Je poursuivai avec de nouvelles banalités. Elle ne quittait pas mon regard semblant ignorer superbement mes plates considerations sur la soirée. Puis elle passa sa main sur ma nuque, ses doigts dans mes cheveux, attira mon visage vers le sien.
- Mon corps a faim !
Cela n'ameliora pas mon état ! J'eu à peine le temps de reagir en louant ses charmes mysterieux, qu'elle me deposa un baiser sur les lèvres d'une longueur à me faire fondre ! Puis elle s'écarta, le regard brillant en poursuivant ses confidences,
- Tes lèvres sont chaudes. ton regard est brulant ! ... Non, ne rougis pas ! J’aime me sentir pleine du désir d'un homme. J’aime savoir son esprit excité,
- Ton beau visage me grise et m'attire. Ta chemise entrouverte m'invite à tous les délires.
Je m'appretais à me separer d'elle à la fin de la musique, lorsqu'elle me retint par la main
- Tu n'as donc pas compris ? ... J'ai envie ! ... Et bien oui, maintenant, pourquoi pas ?
- Emmène moi là bas, nous serons plus tranquilles !
C'était une injonction. Nos visages se sont rapprochés un peu plus, et ce fut elle qui m’embrassa avec passion, glissant aussitôt sa langue dans ma bouche.
Nous nous sommes rapidement retrouvés à l'écart dans un coin plus sombre de la salle. Je touchai avec delice de doux tissus au contact de son corps
- Je vois tes qui yeux brillent ! Tu veux savoir ? Continue ton exploration !
Je la desirai, et elle me desirait. Pendant que nos bouches et nos langues dansaient l'une avec l'autre, ses mains cherchaient les boutons de ma chemise, tandis que je m’affairai sous uses tendres dessous tandis qu'elle s’attaquait à ma ceinture. En quelques secondes, nous étions, corps à corps, en partie dénudés, glissant nos peaux l'une contre l'autre, prêts à l'amour ...
Tel un oiseau febrile cherchant son nid chaud, je lui exprimai mon impatience d'elle, mon desir de m'enfouir en elle. Elle me regarda avec des yeux humides. Et sans attendre, je ne su vraiment si c'était elle qui m'offrait son corps ou si elle s'offrait le mien. je me sentis tres naturellement aspiré en elle. Elle m'accueillait avec gourmandise. Je me sentis aspiré en elle, comme dans un cocon mielleux, une sensation paradisiaque, je la pénètrai doucement, tendrement, sensation d'une douceur infinie. Je glissai avec délice entre ses muqueuses distendues. Son ventre était chaud, comme un cocon, c'était terriblement agreable. Je saisissai ses seins, je les palpai avec ferveur. elle s'abandonna à mes attouchements. nous emettions un bruit de succion terriblement érotique. Elle ferma les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlerent l’une à l’autre, je m'enfoncai de plus en plus profondement dans sa chair, onctueuse et chaude. Elle m'offrait ses douces caresses intimes, j'étais bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé, je m'enfonçai en elle par glissades subtiles, je ressortai et rentrai de nouveau dans un onctueux va et viens, puissant et doux à la fois, Elle me fit cette remarque avec sourire
- C'eut été une erreur de manquer ça, tu ne crois pas ?
- Je te fais du bien ? .... Tu me fais du bien aussi, tu sais !
Elle s'offrait à moi, totalement, me laissant glisser dans sa chair, onctueuse et chaude, savourant ma progression dans cet étui tendre et doux, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahissait. Son corps tout entier se donnait peu à peu, telle un offrande. Je sentais ses douces caresses intimes. J'étais maintenant à l’intérieur de son corps de femme, j'étais bien, elle aussi. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Elle me caressa les cheveux et le visage et me murmura à l’oreille
- Bien au fond ! ... Tout mon corps te reclame !
Son souffle était lent. Je sentais mon sexe s'allonger, grandir en elle, rendant mon intrusion encore plus savoureuse. C'était chaud, c'était doux, c'était mouillé et terriblement agréable. Elle m'aspirait, elle m’absorbait. Je sentais ses petites contractions intimes sur mon muscle bandé. Elle remuait légèrement son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’était déjà plus le même. Il était plus étroit, plus intime, plus englobant. tout en continuant d'amples allées et venues en elle, elle se mit à émettre de petits halètements. Elle semblait m'appeler à plus d'audace et m'adressa un sourire teinté d'impatience.
- Continue ! ... Bien au fond ! ... Je veux te sentir en moi bien gros ... et bien long ! ... C'est si bon !
Mes mouvements se firent plus amples. La douce excitation devient un désir plus ardent. J'oscillai en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter. Je lui donnai du plaisir, elle me le rendait au centuple. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordillait les levres, doucement le rythme s'accélèra. Son corps se tendit sous mes caresses. Elle gémissait, secouée de spasmes et de frissons, enfoncant ses ongles dans mes fesses musclées, m’invitant, le souffle haletant, à la prendre plus violemment. J'harmonisai mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement était plus puissant, plus profond. Elle remuait pour bien me sentir envahir ses muqueuses, me faisant découvrir ses douces contractions intimes tendres et tièdes. J'accélérai encore, ma douce excitation devint un désir plus ardent, Elle ouvra grand les yeux, s'offrant un peu plus à moi, la bouche ouverte, tout son corps semblait jouir de mes pénétrations rythmées. Je sentais mon plaisir monter, mon envie de me lâcher. Nos regards se souderent l'un à l'autre, elle semblait prise de vertige.
- Maintenant ! me supplia-t-elle, je veux que tu viennes !
- Non, ne te retire pas ! Reste en moi ! Je veux que tu jouisses en moi ! bien au fond !
- Je veux te sentir envahir mon corps ! Je veux que tu te perdes en moi, que te noies dans ma source,
- que tu me remplisses de toi, tout au fond de mon ventre !
- aime moi et donne moi tout de toi ! Maintenant ! Jouissons ensemble !
Je saisissai alors ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement. Elle se cabra, elle m'agrippa par les épaules pendant que je lui mordillai le cou. Elle me tira vers elle, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs nous excitait tous les deux. Je me crispai au fond d'elle ..... et fou d’un désir intense, je ne parvenais déjà plus à me retenir, je poussai un cri rauque et long ... et je jouissais dans son corps en plusieurs salves riches et genereuses, à me faire perdre la tête, l'inondant de ma douce chaleur. Elle passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage, se mordilla les levres. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir.
Puis je m'affaissai sur son corps. Elle caressa amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule.
- Tu es un vrai lion ! ... Comme je les aime ! ... Tu as été merveilleux !
Elle conservait encore dans sa chair mon sexe emprisonné. Mon sperme chaud coulait encore entre ses cuisses imprégnées de nos sécrétions amoureuses. Ses seins sont encore couverts de marques de mes ardentes succions. J'en tremble encore de plaisir, comblé par notre corps à corps torride. Je la sentais encore toute ouverte pour moi.
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser complètement hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai completement sur elle, épuisé.
Des larmes de bonheur inondaient nos paupières. Je lui confiai mon extreme bonheur d'avoir vecu ce moment avec elle,
- c'eut été dommage de manquer ce moment, tu ne crois pas ?
Nous avions joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. La tourmente faisait place maintenant à un calme absolu, à une détente totale.
La minute où nous nous désenlaçâmes, et ses yeux admirables, valaient bien ces moments. Je tâtai son corps. Il était brûlant. La voir ainsi me procurait une volupté sans égale. Au bout de dix minutes, cette volupté me parut insupportable. Je l’embrassai sur l’épaule. Un second baiser, moins chaste, la fit reagir, et, se frottant les yeux, elle me couvrit de baisers, Nous avons refait l'amour, une grande partie de la nuit ...