--03-adlt-10-andrallong3104365 copfa--03-adlt-10-andrallong3104365 copfa Mante gourmande ()
Je suis maintenant totalement sous son emprise, à sa merci ! Je ne réalise pas encore totalement ce que je suis en train de faire, Tout va trop vite mais mes baisers auxquels elle me répond avidement chassent peu à peu toute pensée raisonnable lorsque ma main se glisse entre ses deux jambes, je la sens sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je fais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses.
Elle est chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écarte son chemisier, puis son soutien-gorge pour dégager en partie ses seins. Ses tétons sont durs comme l'acier, chauds comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements sont vite à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous sommes à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouille comme une fontaine !
son parfum est intense, Je reste sans réagir, entierement sous son contole. Elle appuie ses caresses. elle semble déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautaient.
- Vous m'avez donné faim !
A l'abri des regards indiscrets, nous nous tripotons ardemment. Elle ondule du bassin, collant son ventre contre le mien, et tandis que je m'appuie encore davantage contre elle, elle sent à travers, mon pantalon, mon sexe déjà bien dur. Un frisson me parcourait a mon tour, tout se passait trop rapidement pour que je n'ai le temps de me poser de questions.
- Vous êtes folle.
- Ils discutent. Nous avons tout le temps !
Mes mains remonterent rapidement sa robe puis ses dessous, jusqu'à sa taille. Tout se precipita !
- Laisse-toi faire !
- Je rêve d’échanges et de mélanges, dans le fond de ma grange.
- Je rêve de ta colonne en mes bouches aphones,
- Je rêve de vendanges du bout de mes phalanges,
- Baise-moi !
- Il me tarde de sentir dans mon ventre l’élan tourbillonnant de ton sceptre de chair !
- Rejoins vite mon nid ! Rentre vite dans mon pays sucré,
- Viens glaner et labourer avec avidité l’univers humide de ma chair ardente !
- Je t'offre là mes cuisses et leur fleur de lys à tout le saint office de tes pires malices,
- Je ne doute pas que ton rude pénis saura user de tous mes orifices.
- Rentre vite dans mon trou !
Elle s'est alors jettée sur moi, se frottant contre moi, écrasant ma tête entre ses seins. Puis elle avait pris mes mains et les avait dirigées vers elle.
Je caresse ses seins, bien souples et bien fermes. Elle cherche mes lèvres, m’embrasse. Elle me suce. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, Je palpe ses seins, je la fouille. Je bande sans retenue, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnent une cambrure de rêve. le frottement de ses seins sur mon torse excite mes sens, mon sexe se lève et glisse entre ses deux cuisses. Ses mains prennent mes bourses puis entourent ma verge, c'est divin ! je caresse ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissent doucement contre mon torse. je savoure cette chair élastique, mon sexe durcit Je me serre plus près d'elle, l'embrasse dans le cou, je frotte doucement mon sexe contre elle, il durcit encore. Elle le sent, me sourit, se resserre contre moi. Mon pénis grossit dans sa main qui s'active, Je sens la jouissance qui me gagne. Elle s'accroche à mon cou. ses jambes s'écartent. Elle en veut plus ! Ses levres intimes s'ouvrent Je les sens, tendres et fragiles ... Elle ne dit rien, les yeux fermés, elle m'attend. Elle s'accroche à moi, elle me serre, se frotte à mon sexe qui se fait plus insistant. Je malaxe ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tire vers elle, prend mes mains et les pose sur ses hanches,
- Prends-moi ! Vite ! Met le moi bien profond ! Vite ! ...
Elle s'ajuste sur moi. Je suis à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... m'aspire. Elle s'empale sur mon sexe. Je sens les portes s'ouvrir, je m'enfonce, c'est brûlant... je me me perds en elle. Un glissement onctueux, une montée lente, une progression lourde, un frottement suave. Elle se frotte, ondule, fait grossir mon membre qui se tend dans son ventre. Elle le suce, l’aspire, le tire en jouant de son corps. Nous glissons délicieusement l'un contre l'autre : Je sens ses muqueuses qui se dilatent, m'aspirent pour que j'aille plus loin... Avec ta tête nichée dans mon cou, elle se contient. J'entame quelques légers mouvements, à l'écoute de son corps qui réagit. Elle râle, se retourne vers moi, me demande de jouir, vite,
- Oh que c'est bon ! Tu m'excites !
Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortille, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. je la pénétre profondément, une fois, deux fois, de plus en plus puisemment Le climat monte et je sens mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’oscillations qui échappent à son contrôle. Elle veut avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Le rythme s'accélère de plus en plus, je sens son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidit, ses muscles sont contractés, elle me serre très fort. Elle part !... Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agite frénétiquement. Mon excitation atteint un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale, elle se cabre et me supplie de conclure
- Maintenant ! Vite !
Je ne me retiens plus. Je me plante en elle, ma verge bandée au fond de son vagin, je m’enfonce en elle, loin, très loin. Je me rapetisse. Je vibre, je tressaille, un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ! ... je jaillis dans son ventre, je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise.
- Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair
Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continue à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relache finalement en me souriant, se relève, à la recherche de ses sous-vêtements, enfile sa culotte. Je passe derrière elle, et lui agrafe son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrasse dans le cou, et l'enlace pour aller caresser ses seins.
- il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.
Elle remet sa robe, puis colle son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressors, elle est déjà retournée au living.
- Oh c'est bon ! ... Merci !
Sa voix est chaude et un peu rauque. Elle s'étale sur toute la surface de mon corps, telle une mante assoiffée. Elle me fixe, gourmande, predatrice. Elle se colle à moi, saisit mon visage, me prend la tête, mon sexe qui se lève entre ses lèvres ouvertes, quelques frottis frotta, et je le sens aspiré. Je la penetre, elle m'engloutit, elle me suce, se laisse glisser sur mon mat dans de jolis bruits liquides. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne contrôle plus rien, je me déchaîne, je me lache ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre. Notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi