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Nos tempes claquaient, la chaleur monta en nous comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenai .... Elle me lèchait les lèvres, le cou, puis m'embrassa fievreusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Elle se frottait, se soulèvait, ondulait. Mon sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottaient au contact de mes lèvres. Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait avec delectation sur mon sexe. Elle m'affolait. Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle voulait jouir, vite. Je ressentis les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait et me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Puis elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de désir.
- Maintenant ! ... Viens vite ! ... Bien au fond !
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai dans son ventre, par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. Je sentais ses savantes contractions, elle cherchait à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendis à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombais dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.