Capture d’écran 2023-04-06 à 11.34.41Capture d’écran 2023-04-06 à 11.34.41 ()
Mère célibataire, je me souviens très bien de cet après-midi. Mon gendre était venu m’aider à monter des étagères un jour où il ne travaillait pas. Cela ne faisait pas très longtemps qu’il sortait avec ma fille. C’était la première fois que je me retrouvais vraiment seule avec lui. Nous avons passé deux bonnes heures à visser les équerres et à manier du niveau. Tout en travaillant, il me parlait de lui et de l’affection qu’il portait à ma fille. Curieusement, je le sentais sincère, mais il me regardait en même temps d'une manière qui me destabilisait. Bien que flattée par les regards de ce beau jeune homme de 25 ans, je ne me sentais pas très à l’aise… Nous avons bu un peu de vin pour nous récompenser de l’effort fourni. Je n’aurais pas dû ... Nous nous etions assis sur le canapé, un peu grisés. C'est alors que, tout en parlant, il a chassé une mèche rebelle de mon visage d’un geste tendre de la main. Pourquoi l'ai-je laissé faire ? Il s’est encore rapproché et a osé un baiser timide dans mon cou, je ne reagissai toujours pas, puis ses mains sont descendues jusqu’au creux de mes reins. Je devinai, inconsciente, que les evenements prenaient une tournure de plus en plus incontrolable. Mais je le laissai faire, de plus en plus excitée par cette aventure inopinée. Nos sens se sont alors réveillés brutalement, nos langues se sont mélangées, nos peaux se sont frottées l’une à l’autre. Ensuite ...
Ensuite, ses mains se sont égarées sous mon pull pour s'emparer de mes seins. Les pointes ont durci sous ses doigts. Je me suis laissée aller à ces douces caresses, oubliant qu’il était mon gendre. Je ne contôlais plus rien ... il en profitait, et j'en profitai moi aussi ... Lui comme moi étions prêts desormais à precipiter les choses ...
- Ou est ta chambre ? me lance-t'il de manière impudique
- tu crois que c'est serieux ? ... lui reppliquai-je affolée, tout en ajoutant aussitôt,
- au fond du couloir ! ...
Sans me repondre, il m’a soulevée et m’a portée dans ses bras jusqu’à ma chambre. J’ai trouvé ça à la fois déplacé mais tellement romantique et tellement excitant ! Il m’a déposée sur mon lit, et nous nous sommes febrilement déshabillés. Sa bouche a parcouru mon corps de la tête aux pieds, s’attardant sur mes seins et mes tresors intimes, deplus en plus humides. Il bandait à la limite de l'indecence, je n’attendais plus maintenant qu’une chose : qu'il ne s'arrête pas en chemin ...
- C'est osé ce que nous faisons ! ... tu ne crois pas ? ...
- tu crois aussi ? .... alors, soyons fous !
Il m'a allongée puis s'est étendu sur moi. Mon regard s'est figé sur son engin qu'il sortait de son pantalon et qu'il pointait vers moi,
- Je suis toute ouverte. Tu sens ? .... Rentre vite ! ...
c'est alors que, sans attendre plus longtemps, il s'est enfonçé d'un coup entre mes muqueuses trempées jusqu’à buter au plus profond de ma matrice. Arrivé à bon port, il a levé ses yeux brillants de désir vers moi. Il ne bougeait plus, comme en attente de ma réaction, un peu comme s’il avait fait une bêtise. Pour le rassurer, je lui ai caressé le visage et je me suis accrochée à son cou, lui laissant le soin de poursuivre la bêtise déjà bien engagée. Je sentais sa queue danser en moi, je balançais mon bassin au rythme de ses allées et venues. Il m’a prise sans s’arrêter jusqu’à ce que je jouisse, quelques minutes plus tard. Et là, il s’est laissé aller lui aussi, inondant mon ventre en abondance.
Doucement, elle enveloppait mon sexe qui s'enfoncait en elle, et la remplissait, il s'y complaisaît comme dans une bain mielleux.
- et voilà, ça y est ! .... tu es chez moi ! ... tu es bien ? ....
Je glissai avec delice dans sa douce moiteur, un glissement onctueux, une penetration lente. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvraient et m'accueillaient dans leur intimité douce. Elle me regardait avec des yeux troubles.
- Tu aimes ? .... tu sens ? .... mes petites contractions ?
- Je te sens bouger dans mon ventre ! ... C'est delicieux !
Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle glissait sur mon mat en se faisant plaisir, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, se tendait. Avec application elle me sucait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, j'en gémissai de bonheur. Elle me fixa avec des yeux humides
- J'aime te sentir glisser profondement en moi !
- Je te sens bien dur ... et bien long ! ... J'aime !
Elle souriait. Ses yeux étaient magnifiques. Elle s'empalait doucement, interminablement, en surveillant mes réactions. Un étui chaud et humide entourait petit à petit ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Elle ralentit sa descente, me regardait jouir, la reprenait. Ces lentes pénétrations affolaient nos sens.
- Tu me remues les entrailles ! Je fond !
Je la penetrai profondemment, en de lents mouvements. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je coulissai en elle, elle pouvait sentir mes reliefs noueux qui glissaient dans son ventre. Elle se faisait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massaient delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçait, se remplissait de moi. Elle m’aspirait, m’absorbait, me relâchait.
Je la sentais toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorba toute la longueur de mon membre, l'enveloppant d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions agitaient son vagin telle une main serrant mon sexe dans son ventre. La sensation était délicieuse, affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se pencha vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon mat qui la pénètrait profondément. Ses mouvements déplacaient mon sexe dans son ventre. Elle se redressa, nouvelle sensation. Elle se soulèva un peu plus et se baissa à nouveau, je sentis ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommencea ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaissa rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je vis qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayai d'en faire autant.
Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait litteralement sur mon sexe. Elle m'affolait. Je commençai à me retirer d'elle craignant une explosion imminente. Elle me fusilla des yeux
- Non ! Ne te retire pas ! ... Ne t'inquietes pas. J'ai pris mes precautions !
- tu vas jouir en moi ! ... Bien au fond de moi !
Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Elle voulat jouir, vite. Je ressentais les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Elle se mit à jouir. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Elle me serrait, me dévorait, littéralement. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Elle se pencha vers moi, ses yeux humides de plaisir.
- Viens ! ... Viens vite ! Inonde moi ! Remplis-moi de toi ! Donne moi ta sève ! toute ta sève !
Elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... et je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. En de savantes contractions, elle chercha à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendais à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombai dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.