adct-13-andrallong2000-15-gadct-13-andrallong2000-15-g predatrice ()
Positionnée sur moi, jambes écartées, outrageusement sensuelle, indécente presque, son corps emprisonnait le mien. Ses deux seins lourds se déployaient de manière provocante sur toute la largeur de mon torse. Louise me fixait, les yeux humides de désir. Je n'en pouvais plus. Ma respiration s'accélérait. Je la sentais terriblement gourmande. Elle m'aspirait en elle. Je m'enfonçai entre ses muqueuses trempées, remplissant son vagin, s'y complaîsant comme dans une bain mielleux. Elle s'empalait sur moi, je me perdais en elle. Elle m'absorbait au fond d'elle, comme un poulpe digerant sa proie, un glissement onctueux, une penetration franche. Elle suçait ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Un étui chaud et humide aspirait ma verge gorgée de sang, me pompait, me lissait, m'engloutissait et me brûlait. Je voyageai en elle, elle m'enveloppait, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Elle savourait ses propres sensations et les miennes. Elle se masturbait allègrement sur moi en surveillant mes réactions. Je la regardais jouir. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Ces pénétrations affolaient nos sens. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle cèdait à la volupté, ne cherchant plus à se contrôler. Elle s'offrait à mon corps, à nos sens ! Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait. Mon sexe glissait, grossissait, s'allongeait dans ses chairs. Elle l’aspirait, le tirait, le poussait en jouant de son corps. Elle offrait sa vulve à mon dard, Elle se masturbait avec delectation sur mon sexe bandé. Elle m'affolait. Sa frénésie redoubla. Elle était en sueur, scintillante de son abandon. Notre union devenait animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir nos instincts, c'était la trop grande chaleur de l’été et et de nos corps, déjà irradiés de joies intimes. J'avais le corps en feu. Elle aussi ! Elle voulait jouir, vite. Je ressentis les contractions de son vagin sur mon gland qui la fouillait. Ses sécrétions se firent plus abondantes. Puis elle se raidit et, dans un long spasme, se laissa aller à l'orgasme. Elle se mit à trembler, se crisper et s'immobiliser toute, serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant. De violentes secousses lui traversaient les entrailles... Elle clama sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonna. Elle se soulèva, se cambra, comme tétanisée, se laissa emporter dans un long râle. Vingt mille volts lui remonterent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un vrai feu d’artifice. Elle se déchaîna, cria, la bouche ouverte, haletante, elle frissonna, elle trembl .....Tout son corps vibra. Elle partit ... envolée prodigieuse, elle brâmait, elle rugissait, une longue plainte sauvage, un long râle de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sentais ses contractions, ses mains griffaient les draps, Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements, la sueur lui perlait sur le front, ses cheveux noirs commençaient à lui coller aux tempes. Nos deux corps mélangés se mirent à vibrer au son de nos soupirs. Sous ses baisers brûlants je me sentis défaillir contre son corps agité de quelques derniers spasmes.
Son corps convulsé déclencha mon propre orgasme: Mon corps se tendit alors et vibra, je m’enfoncai en elle, loin, très loin. Un trait monta, puissant et massif. Un frisson. Elle le sentit. Le trait m’échappa ... je me libèrai en elle, sans retenue. Je giclai dans son ventre, par spasmes riches et généreux. je me lachai, je vidai ma joie en elle, je jaillissai dans son ventre qui m'avala, qui me but. Je me vidai, par saccades, Je m'immergeai dans son corps, je me noyais en elle. Elle m'attrapa les cheveux, me serra la tête, puis jouit longuement. Elle suca et aspira ma queue qui se vidait en elle. Elle sucait tout, ne gâchait rien, ne perdait rien. Elle digerait mon gland qui trempait dans mon sperme. Je sentais ses savantes contractions, elle cherchait à extraire toute ma semence qui libérerait mes tensions, ses mains griffaient mes cuisses, un voile bleu passa dans mes yeux, j'entendis à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
Puis elle s'abandonna, se livra aux flots qui l'absorbaient... Elle s'abîma, sombra, s'anéantit... milles bulles éclaterent. Nous restions pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, j'étais complètement déboussolé et tombais dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençerent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité.