adlt-03-beau soleil interieur-10adlt-03-beau soleil interieur-10 seduction ()
La soirée était en train de se terminer. les convives prenaient congé les uns après les autres. Je l'observai avec fascination. C'est alors qu'elle s'adressa à moi ..
- Dis-moi ? tu ne pars pas tout de suite ... d'accord ? ... je voudrais te dire quelque chose ! ...
Le temps de prendre congé des derniers invités et de refermer la porte derriere eux, elle insista,
- ça y est, ils sont tous partis ! tu as un peu de temps ? .... merci de rester un peu avec moi !
- tu as aimé cette soirée ? ... Tu sais, je voulais que ça te plaise ! ...
- Je n'ai pas arrêté de te regarder ce soir pour m'en assurer ! Tu t'en es pas aperçu ? ...
- Pas vraiment, mais ça me fait plaisir! .... Tu voulais me dire quelque chose ? ...
Elle me regarda un moment avec une intensité inhabituelle, puis me prit les mains,
- d'abord .... j'avais envie de t'embrasser, ce que je n'ai pas pu faire comme je le voulais quand tu es arrivé ....
- je peux ? ...
Elle entoura ma tête des ses mains et m'embrassa sur la joue avec douceur.
- Je suis tellement contente de t'avoir eu ce soir chez moi, tu sais !
Son regard projettait plus de désir que mes yeux ne pouvaient en recevoir. Grâce ou perversion, éclat impudique du désir... et ce magnetisme qu'elle degageait, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle. Elle était enveloppée d'une lumière tamisée qui semblait la caresser. Elle me provoquait avec un art consommé de petits gestes discrets, de petits regards, divinement sensuels. Elle était plus séduisante encore... J'avais les mains moites, les jambes dans du coton. Son odeur de parfum, sa voix, délicatement posée m'attiraient comme un papillon la lumiere. Et elle ne fit rien pour calmer mon attirance violente. Je la fixai, un peu déboussolé. J'étais sous son emprise. Elle me troublait terriblement,
- ensuite ...comment te dire ? ....
- tu es seul en ce moment n'est-ce pas ? ... et je suis seule moi aussi ! ....
- On pourrait en profiter ? ...
ses yeux brillaient d'un eclat ravageur. je voyais sa poitrine se mouvoir au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé,
- Tu veux que je sois plus precise ? ... on pourrait s'occuper de nous ? ... tu ne crois pas ? ....
J'eu à peine le temps de realiser ce qui se passait qu'elle approcha ses lèvres des miennes. Comme je restais debout sans bouger, elle crut que j'allais refuser son baiser, car je tentai de tourner la tête, mais ce contact électrique se mit à agir sur moi comme un interrupteur. Et ce fut moi qui l’embrassai cette fois sans retenue, glissant aussitôt ma langue dans sa bouche. Notre baiser fut long et humide. Toute reserve ou retenue avait disparue. Notre baiser dura un très long moment ... elle me fit alors cet aveu:
- Depuis que je te connais, je rêvais de vivre ce moment ! ...
Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Elle glissait sa main sous ma chemise, caressant ma peau de ses mains chaudes et je glissai la mienne sous son corsage au contact d'une fine combinaison jusqu'à la naissance des seins. Nous reprîmes nos baisers, de plus en plus fougueux, de plus en plus impatients. elle se detacha avec un regard beaucoup plus déterminé:
- ecoute ! ... Ma chambre est au bout du couloir ... qu'en dis-tu ? ...
- tu as envie ? .... et j'ai envie ! ....
- on y va ? ..., viens, je t'emmène !
Arrivés dans la chambre, les lumières de la rue éclairaient suffisamment la pièce au travers des voilages. Eclat impudique du désir, et ce magnetisme soudain entre nos deux corps, de plus en plus fort, attirance violente, sensuelle, nous reprîmes nos etreintes ardentes qu'elle interrompit seulement pour me preciser ses desirs,
- J'ai terriblement envie de toi dans mon lit cette nuit ! ... tu veux bien ? .
- je te demande un petit moment ... je veux me faire encore plus belle pour toi ! ....
- Installe toi ! ... commence à te mettre à l'aise .... j'arrive ! ...
Installé sur le lit, j'étais attentif à chaque bruit qui aurait pu interpeller mon imaginaire. Je devinai dejà des bruissements de tissus. Le parfum épicé de fragrances érotiques baignait la chambre. Puis elle entra enfin, éclairant soudainement l’ambiance feutrée de la pièce d'une sensualité pregnante. Rayonnante de séduction, une chemise de nuit fluide, laissant pointer par un jeu de transparence, deux belles et genereuses poitrines, elle me troublait autant qu'elle m'attirait.
- Est-ce que je te plais ? ...
S'avançant vers moi, elle ôta sa pince à cheveux, libérant sa chevelure. Elle s'assit à mes cotés puis glissa sa main à la base de ma nuque, elle m’embrassa alors amoureusement et goulûment à la fois. Je lui avouai que moi aussi j'avais ce soir terriblement envie d'elle. Touchée par ces aveux, elle me repondit par un baiser long et appuyé. Je glissai discrètement une main sur sa robe de nuit , puis dessous. Elle m'embrassa avec fougue, de la fièvre dans le regard, de la faiblesse dans ses frissons éparpillés sur tout son corps et jusque sous sa peau. Une attirance presque magnétique planait au dessus de nous.
- Tu permets ? ...
Avec une douceur presque féminine, elle defit un à un les boutons de ma chemise, glissant de temps à autre une main chaude sur mon ventre. Elle redécouvrait ces plaisirs sourds qui font qu’une femme décline lentement vers un bien être sensuellement érotique. Elle redecouvrait les bienfaits des caresses amoureuses, l’agréable douleur des morsures tactiles sur des seins avides de baisers, et cette douce chaleur envahissant ses entrailles avant que de mouiller ses dentelles intimes ...
Ses yeux, jusqu'içi plutôt discrets, reflétaient un encouragement à plus d’audace de ma part. Avec délicatesse, mais aussi de la fébrilité dans ses gestes désordonnés, elle me débarrassa de ma chemise trop sage. Elle me caressa, de la base de mon cou jusque sous mon bas ventre, s’égarant longuement sur mon poitrail musclé, en baisers parfumés et morsures innovantes. J'aimais la regarder me caresser ainsi. Nous nous embrassames à nouveau, de façon beaucoup plus sensuelle. Elle avait plaqué ses mains sur mon torse et je commençai à lui caresser tout le corps. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, et me penchai pour embrasser ses seins. Elle défit elle même l’attache dans son dos pour que j'en profite tout à loisir, puis elle me fit doucement reculer jusqu’au lit qu'elle ouvrit febrilement. Elle s'y allongea, achevant de me débarrasser de ma chemise trop sage.