mat-02-andrallong31mat-02-andrallong31 la tendresse de Marthe ()
Nous étions dans la chambre de Marthe. Le visage empourpré, elle s'était rapprochée de moi et me fit quelques caresses de ses doigts sur mon visage, elle posa ses lèvres sur les miennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. J'avais le cœur dans la gorge, sa langue douce et chaude s'infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s'enfoncer dans ma bouche. D'abord surpris par ce baiser, je me laissais faire, passif. Puis je lançais ma langue à la rencontre des lèvres de celle de cette femme splendide. Elle s'ecarta un court instant et me regarda droit dans les yeux,
- C'est la premiere fois que tu reçois la tendresse d'une femme plus agée ? Tu aimes ?
J'acquiesçai, comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle, elle se pencha sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Peu à peu, sous ces assauts, j'avancais une main dans l'ouverture de sa robe puis dans son large décolleté pour me saisir d'un sein, et le palper doucement, en faisant rouler le téton entre mes doigts. Jamais je n'avais bandé aussi fort. Haletante elle se redressa, s'empara de mes deux mains, elle les posa sur ses seins genereux à la peau si soyeuse.
- J'aime quand tu caresses mes seins, gémit-elle. et appelle moi Marthe !
Je m'exécutais sans me faire prier, palpant les chairs fragiles avec gourmandise. Nous haletions tous les deux. L'excitation était à son comble. Marthe s'empara une nouvelle fois de ma bouche pour m'embrasser amoureusement. Tout en me fouillant l'intérieur du palais de sa langue experte, elle posa sa main sur mon pantalon. Avec beaucoup de douceur elle me caressa par-dessus le tissu. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis elle dénoua sa robe de soie, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle posa une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes me laissant deviner sa vulve rose et luisante. Marthe m'agrippa alors la main et la plaqua contre sa vulve ouverte et trempée. Elle me guida, appuyant fortement ma main contre sa longue fente, et m'encourageant d'une voix rauque :
- Tu sens comme je mouille, me confia-t-elle d'une voix hachée … je suis toute ouverte ... à cause de toi ! ... pour toi !
Timidement, je commençais à caresser ses lèvres intimes, en accompagnant mes caresses de petites incursions appuyées. Marthe se mit à pousser des petits gémissements, Puis je sentis ses deux mains se saisir de ma main pour l'immobiliser. Agitant son bas-ventre d'avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son sexe était de plus en plus ruisselant de sécrétion, puis elle cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la chambre. Au bout de quelques minutes, elle me libéra.
- C'était bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire !
Puis abandonnant enfin son baiser, Marthe me regarda dans les yeux :
- Dis moi ? ... est-ce que tu as eu quelqu'un avec toi ?
- un simple flirt dis-tu ? ...
- Et ... est-ce que tu as ... est-ce que vous avez été ... plus loin ?
- non ? ... mais tu penses que ça pourrait arriver ?
- Tu voudrais apprendre ? ... pour être sur de toi ?
- apprendre avec une femme comme moi, tu pense que ca pourrait t'aider ? Ne sois pas gené ! Ce n'est pas honteux !
- Tu es inquiet ? C'est la premiere fois ? ... Détends-toi bien ! ... Tu es bien avec moi ?
- Ne t'inquiete pas ... tu es chez moi ! ... nous sommes tranquilles içi !
- Tu es prêt à partager un moment de tendresse plus intime avec moi ? ... oui maintenant, pourquoi pas ?
Sans un mot, Marthe s'allongea sur son lit. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissait pas, elle écarta ses jambes, puis, m'invita d'une voix oppressée.
- Tu viens ? .. nous allons nous faire plaisir tous les deux !
Alors que je m'allongeai sur son corps, Marthe se saisit de mon sexe pour le diriger vers elle. Je me laissais aller et avec une énorme émotion. Je sentis ma verge s'enfoncer progressivement dans le ventre de Marthe. C'était la première fois que je pénétrais le sexe d'une femme mure. une sensation puissante, comme une humide et molle profondeur, douce à mourir, où je glissais et me perdais, un abîme intime, clos et lisse, où mon désir s'enfoncait jusqu'au fond.
Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes bourses venir heurter ses fesses, elle se mit à gémir sans retenue. Prise d'une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s'offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde. J'entamais alors ce mouvement de va-et-vient, me faisant coulisser dans les entrailles féminines d'une extrême onctuosité, je bougeais lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge. Elle était de plus en plus ruisselante, chaude et onctueuse. Elle émettait un delicieux bruit de clapotis. Plus mes coups de reins se faisaient violent, plus Marthe se cambrait de plaisir. Haletante, elle s'accrocha à mon cou pour m'embrasser avec fougue. Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que ses seins s'écrasaient sur ma poitrine. J'étais au paradis. ma langue dans sa bouche, mon sexe bien au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus fort sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Je n'arrivais pas à réaliser ce qu'il m'arrivait. Je voyais et me sentais entrer et sortir de cette forêt gluante. Marthe avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Son souffle était puissant et bruyant, elle jouissait comme une folle. à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que sa jouissance était bien réelle, elle m'offrait son corps sans pudeur, sans retenue. Je la baisais de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon soc charnel. Sa vulve ruisselait d'un jus chaud et poisseux qui me trempait les cuisses, avant d'inonder les draps du lit. Subitement je sentis le plaisir monter en moi, elle me supplia de conclure, et sans attendre, j'explosai dans son corps chaud. De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais. Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et l'arrière des jambes, j'étais secoué de la tête aux pieds. Marthe se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se mit à trembler convulsivement, comme pris de convulsions. Ca dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. Le fait de penser que j'étais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait d'exitation. Une fois le calme revenu, Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire, à reprendre notre souffle et nos esprits. J'avais laissé ma verge profondément enfouie dans la chatte devenue brûlante et dégoulinante de jus. Au bout de quelques minutes, Marthe ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.
- Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?
- Oh oui, répliquais-je comblé. Si je n'ai pas perdu connaissance, c'est un miracle.
- Tu es sûr que c'est ta première expérience ? Il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.
M'attirant à elle, Marthe m'embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout d'un moment, m'ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée.