---mat-05-deb6a0777a5---mat-05-deb6a0777a5 le goût de mon corps ()
- Je te trouble avec ma lingerie fine ? ...
- Mais si ! Avoue ! Ne dissimule rien,
- Je te sens grossir, là, plus bas, entre mes jambes
- tu aimes, cette dentelle, si fine, qui glisse sur ma peau
- cette dentelle blanche où tes lèvres s’attachent,
- cette dentelle fluide, pleine de mes rondeurs, pleine de moi
- pleine de tes mains, de tes lèvres, de tes caresses
- pleine de mon odeur, de mon envie de toi
- cette dentelle que maintenant, j’écarte pour que tu viennes en moi.
- cette dentelle qui va bientôt se mouiller de nos jouissances
- Laisse ma main aller ou je veux !
- Ton sexe a encore grandi et s'est encore allongé !
- Mais ... Il est énorme ! C'en est presque indécent !
- Caresse mon ventre ! ... J'aime !
- non ... là, plus bas ! ... Tu sens ? ... comme je mouille ! C'est à cause de toi !
- Tu sens ce désir qui monte ? Nous n'allons pas en rester là !
- Tu ne vas pas me laisser comme ça ? Je suis chaude ! ... Toi aussi ?
- Je sens au bas de ton ventre ce mat de chair impressionnant,
- il est prêt à s’aboucher à mes flancs qui déjà s’inondent.
- Je suis là ! à moitié dénudée contre toi
- mon ventre, mes seins et mes cuisses sont en sueur
- respire mon odeur de femelle !
- je veux sentir ta sève jaillir au fond de moi
- incendie moi, dévaste moi, fouille moi
- Tu es mon homme ! Je te veux cru tout à moi.
- Viens te planter profond et généreux en ma terre.
- Viens ! ... là ... Doucement ... par glissades subtiles.
- Oui ! Tu y es ! Tu arrives ! Je te sens !
- Je ploie, je dérive... Met le moi bien profond !
- Oh Oui ! continue … C'est si bon ! ...
- Tu sens ? mes petites contractions ? Tes testicules me taquinent
- C'est délicieux. Respire. Goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante,
- mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur
- J'aime la caresse de tes mains sur mes seins !
- Ils excitent mes sens ! Et les tiens ! palpe les bien !
- Oui ! Encore ... C'est bon !
- Ne bouge plus ! Reste en moi. Regarde moi !
- Je sens ton sexe qui vibre dans ma chair !
- Je te veux bien dur ! encore plus gros, encore plus long
- Baise moi ! ... fort ! Tu es un vrai mâle ! un vrai lion ! Comme je les aime !
- Plus loin, plus loin, ... Gonfle bien ta verge !
- Je suis exsangue, écartelée, je tremble.
- Ton sexe raide bat la mesure de mon cœur affolé,
- Mon muscle se contracte, tu gémis doucement.
- Des vagues de chaleur envahissent mon ventre.
- Je m'ouvre tout entière pour toi. Je sens tes bourses pleines !
- Je suis prete ! Maintenant ! Vas-y ! lâche-toi !
- Oui ... Ouuuii , Cà y est ! Oh c'est bon !
- Ton foutre m'inonde et coule entre mes jambes.
- Ne bouge plus ! Laisse moi te serrer contre moi,
- Sens mon parfum sur ta peau.
- Quel amant ! comme je les aime !
J'aime quand ta verge gonflée de sève se vide dans mon ventre,
J'aime ton regard éperdu au moment de l'orgasme,
J'aime tes râles de plaisir, ton foutre qui m'inonde et coule entre mes jambes.
J'aime ton sexe bouillant qui m'irradie de chaleur.
Regarde moi ! Regarde mon corps qui frémit sous le satin,
Ton regard éveille des sensations troublantes sur mes seins,
Ma douce lingerie glisse sur ma peau fiévreuse
Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue
Révélant mes courbes à ton œil éffleurant,
prête à me dénuder pour toi, lentement, jusqu’à nu.
Je veux que mes seins te provoquent. Je veux ta rage.
Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant.
Je veux tes frissons, que je sente ta vigueur entre mes cuisses,
que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur.
Je veux tes mains sur moi, ta peau contre ma peau,
Je veux sentir en toi un désir animal
Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau
De mes lèvres humides, à ma douce fleur intime
De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De ma jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses,
Je veux te donner le goût de mon corps, de tous ses arômes
Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits.
et plus encore, si tu le veux
Je vais ouvrir pour toi mon lit, trouble appel de la nuit.
Je vais m'y glisser, consentante, t'offrant mon corps,
Parant mes deux seins lourds d’ombres douces,
Mes lèvres sont déjà entrouvertes, d’un désir intense, infini,
T'offrant ma chair nue, prête a te recevoir
Mon corps pour toi se fera dunes, courbures incendiaires,
Sous tes doigts agiles, n'hésite pas, pénétre mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime,
tenaillée de ma faim d’appétence animale,
de te satisfaire, moi, femelle d'un si beau et jeune mâle.
Tu vas me faire l'amour, je me ferai tendresse
Nous nous ferons l'amour à en mourir d'ivresse
J'ai veux sentir ton corps amoureux, jusqu'à la déraison !
Je suis prête à te satisfaire de tout ma chair gourmande
Tu vas venir à moi, sans faire de bruit…
Tu vas venir en moi, dans la douceur de mes draps
et enfin, m'infuser le meilleur de toi !
Viens vite dans mon lit ! Et réchauffe moi de toi !