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jeudi 26 décembre 2024 - 07h57rech / rep
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---mat-12-missryjgd

---mat-12-missryjgd
(taille reelle)
emportés par la passion ()

Jerome, il faut que je parte, sinon nous allons faire des betises
- Helene je passe un si bon moment avec vous, vous êtes si douce !
Jerome, J'ai si chaud... je ne devrais pas être ici !
- Helene, je vous sens receptive
Mon Dieu ! nous nous laissons emporter.
- Je m'arreterai dès que vous me le direz. .
Oh Jerome ! Tu touches des endroits intimes
- Helene ! J'ai envie de vous !
Jerome s'il te plaît ! je t'en supplie !
- Helene ... je vous sens toute ouverte !
Non Jerome ! Il ne faut pas
- S'il vous plait ...
Jerome que fais-tu ... non ! ... Il faut te retirer !
- Helene ! C'est si bon !
Jerome ! Tu me pousses à bout, tu profites de mes faiblesses
- Oh Helene ! C'est bon !
Ou alors doucement, pas trop vite
- Helene, vous m'accueillez, si onctueuse et douce !
Oh Jerome ! Nous sommes en train de faire une grosse betise !
- Oh Helene ... C'est si bon, je me sens si bien chez vous
Doucement Jerome
- Helene ! Je ne vais pas pouvoir tenir tres longtemps !
Jerôme, il faut te retirer
- Helene, Je crois que je viens ! ...
Non Jerome ! Pas dans mon ventre ! ... Retire toi ! ...
- Aaahhh !
Oh non Jerome ! ... Mon dieu ! Je jouis moi aussi !
- Oh Helene ! C'est si bon !
Oh Jerome ! Qu'avons nous fait ? tu..tu...m'avais dit..que tu te retirerais !
- Helene ! C'est si bon !
Jerome ! Tu as joui en moi ! Qu'allons nous faire maintenant ?
je...ton..sperme... à l'int...érieur de moi... tu m'as remplis .... tu m'as envahie ....
Oh Jerome ! Nous avons fait une grosse betise !
Tu m'avais dit que tu te retirerais.....tu me l'avais promis ! ,
- Hélène je suis désolé, vous etiez si désirable, si excitante... Je n'aurais jamais imaginé que vous me laisseriez !
- je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ?
non, restes à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… s'il te plaît !


Julien m'avait entrainé dans sa petite chambre d'étudiant et m'avait manifesté de telles marques d'affection que j'en étais toute retournée. C'est ainsi que je me suis retrouvée allongée dans son lit avec lui et emportée dans une spirale amoureuse que je ne contrôlais plus vraiment. J'étais bouleversée par ce qui était en train de se passer entre nous. Nos deux corps dénudés étaient désormais serrés l'un contre l'autre, sur son lit aux draps défaits, dans l'intimité de sa chambre d'étudiant. Julien avait relevé ma combinaison. Il bandait de manière indécente contre moi, me faisant sentir la réalité de ses envies. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud, complètement affolée par la situation dans laquelle nous étions en train de nous mettre.
- Julien ! Que fais-tu ? Que sommes nous en train de faire ?
Sa main se glissait au bas de mon dos, il remontait encore le bord de ma lingerie, me serrait contre lui. Je ne parvenais plus à l'arrêter. Nos corps se rapprochaient. Nos corps se heurtaient, il cherchait ma bouche, nos mains, malgré moi, s'exploraient, je l'entendis me murmurer à l'oreille:
- Marthe ! j'ai envie de vous !
- Julien ! Non ! Ce n'est pas bien ! Il ne faut pas !
Visiblement excité à l'idée de partager avec moi la jouissance d'une pénétration, il s'excitait sur mon corps, qui était, petit à petit, en train de ceder. Inconsciemment, comme poussée par une pulsion irrésistible, je m'emparai de son sexe gonflé, et le massais sensuellement. Puis, n'y tenant plus, j'en dirigeai le bout entre les grandes lèvres de ma vulve ruisselante. Il n'en fallait pas plus pour qu'il s'enfonce d'un coup en moi, la verge bandée, éprouvant une jubilation inédite en sentant son sexe dur glisser dans mes chairs moites. Je sentais le gland gonflé repousser les chairs intimes de ma vulve. J'étais à la fois complètement affolée et totalement réceptive. Je le sentais s'enfoncer en moi, puissamment, profondément, il glissait dans mon ventre avec une jouissance qu'il arrivait à me faire partager.
- Julien ! Que faisons nous ? Est-ce bien raisonnable ?
Loin de le repousser, je l’aspirais instinctivement de mes muscles, le pressais, Il ressortait, poussait encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que me troubler davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon ventre chaud. Je l'aidais dans ses va et viens. Planant sur un puissant nuage érotique, Julien, ne m'écoutait plus, il s'affairait sur mon corps, fasciné par mes gros seins, tremblant doucement devant ses yeux. Il se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon vagin, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir qu'il me dispensait, et sous les chocs répétés du gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de mes entrailles irradiées. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
- Plus vite ! grognai-je… bien au fond !… Oh Julien !
De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de l'adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, Julien s'activa de plus belle dans mon ventre désormais totalement investi, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je m'étais mis à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration. Julien ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Dés l'accélération imposée par l'adolescent, j'avais compris qu'il atteignait le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé.
- Julien ! ... Oh Julien !
Alors tel un cheval pressé, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, et, dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans ma vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement animal, déversant son sperme abondant au plus profond de mon sexe ravagé. Je me laissai emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de Julien. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me souleva, me cambra, me tétanisa, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous mon jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants, nous restions ainsi tous les deux, intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je fis basculer le corps devenu trop lourd de Julien à mes cotés, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
- Julien ! Qu'avons nous fait ? Tu m'as comblé de toi ! Qu'allons nous faire maintenant ?
Je me penchais alors sur mon jeune amant pour l'embrasser tendrement…
- J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir. Mais maintenant il faut t'en aller