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mercredi 25 décembre 2024 - 18h19rech / rep
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GIOTTO, le baiser de Judas 1306 - HAENDEL, les chemins de Sion, en deuil 1737

GIOTTO, le baiser de Judas 1306 - HAENDEL, les chemins de Sion, en deuil 1737
(taille reelle)
GIOTTO di Bondone - le baiser de Judas ()

GIOTTO di Bondone - le baiser de Judas 1306
Comme il parlait encore, voici Judas, l’un des douze, vint, et avec lui une grande foule avec des épées et des bâtons, de la part des principaux sacrificateurs et des anciens du peuple. Et celui qui le livrait leur donna un signe, disant : Celui que je baiserai, c’est lui ; saisissez-le. La composition ne comporte pas de fioritures, mais des détails qui rendent les personnages réalistes. Les émotions et les états de l'âme sont évidents, tout comme l'éloquence des gestes et des expressions. C'est une peinture qui exprime l'humanité des personnages sacrés. Giotto peint les cinquante-trois fresques de la chapelle Scrovegni autour des thèmes des Vices et des vertus, des scènes de la vie de la vierge et Du christ

Illustr musicale: HAENDEL - les chemins de Sion en deuil 1737
The ways of Zion do mourn (« Les chemins de Sion sont en deuil », HWV 264, est une antienne (anthem) composée à l'occasion du décès de la reine Caroline, épouse du roi d'Angleterre George II. La reine Caroline connaissait Haendel depuis de très nombreuses années. Elle avait toujours été un soutien fidèle, amie et protectrice du compositeur, qui fut personnellement très affecté lorsqu'elle mourut. Il composa pour ce deuil personnel « le plus splendide et le plus émouvant des hommages funéraires » (J.F. Labie).